Ton corps me laisse proche de l’abime de ma passion
L’humus de ta sève régale l’infini désir que je lis en toi
Mon âme est au bord de la rupture de tout ses sens
Et je m’enivre de la chaleur de ta chair et de son gout.
Puisse en moi l’envie qui s’imprègne de ta déraison
Que l’union de nos liqueurs fasse de moi ton roi
Et de toi femme esclave de ton infini jouissance
Pour que je t’abreuve de ma semence d’un seul coup.
PascalH