Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ecrit 2011-2012 006

Nous n'avons d'attitude égal qu'au moment même ou nous prenons conscience des mots. Ils sont à la fois nos amis et nos pires cauchemars. 


Devons nous à ce moment laisser de coté nos sentiments pour qu'ils ne deviennent des préjuger, des jugements et que par là même nos pensées les plus nobles ce trouvent ainsi précipiter dans l’abîme de la frustration. 

Cette tempête n'est que le reflet de nos tourments et de l'agitations de nos esprits , notre condition d'humain en est défini ainsi.

 

Nous sommes à la fois si nombreux et si seul, que devant tant de solitude nous nous offrons pour mieux entrer dans la sollicitude. L’amitié au jour d’aujourd’hui n’est qu’une pluralité, un échange de masse, nous amène à se protéger des autres et se refuser à soi même.


Nous ne nous voyons plus, vide de toute excellence comme cette image dans le reflet d’une glace déformer par les aléas de la vie.


Nous pleurons des larmes amères pour un passé déjà oublier, car notre corps vieilli plus vite que notre esprit, dans ce futur si proche.


Mais le temps ou viendra l’heure solennelle de notre abdication pour cette fin d’existence, nos souvenirs seront las d’être exhibé devant tant d’indifférence, et sans plus attendre notre âme devenu nomade en nom deviendra l’obligé d’un autre monde et d’expérience ainsi confié.

 

Les commentaires sont fermés.