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Érotique

  • Essai Texte 1er partie A

    La limousine l’emmène vers une destination inconnu.
    En ce mois de novembre qui est encore bien pourvu
    De ces arbres qui laisse l’hiver prendre possession
    Forme la haie d’honneur sur le passage de la passion

     


    Le tailleur était suffisamment moulant pour ne laisser dévoiler
    les reliefs de ses sous vêtements de cette femme de trente ans
    Nous laisse fort à appendre sur la plastique de corps charmant
    Frissonne, bien que le chauffage de la limousine soit apaisant.

     


    Le frottement incessant de ses jambes caresse par mouvement
    Sur cette banquette en cuir le galbe de ses jambes bronzées
    Laissant libre cour à ses songes et ses fantasmes imaginés,
    La voiture roule à vive allure comme pour rattraper le temps

    Comme si rien ne devais se mettre en travers et pourtant
    au fur et à mesure que le voiture avale les kilomètres.
    Le chemin ne s’achèvera pas sans main de maître
    Glissant ses doigts sous le tissu de sa jupe colle sa peau
    Dans l'antre cuisse ou il faut toujours si humide et si chaud.

    PascalH

  • Alléchant désir

    Ma bouche convoite ce doux présent
    Cette rivière pour l'être aimant
    Pour caresser du bout des lèvres
    Tout les replis sur cette grève

    Puis j'y appose ma langue en usufruit
    Pour découvrir l'antre secret de ton envie
    Débordant de passion pour l'acte suprême
    Et ce penchant pour tout ces jeux extrêmes,

    Et puis de mon doigts complaisant et délicat
    J’écarte la corolle de cette entrée d'état
    Puis y constater la sécrétion ton désir
    Je m'en imprègne et me délecte dans un sourire

    Ce puissant nectar enivre mon être
    Plus fort qu'il ne laisse paraître
    Et je suis à la merci de ta liqueur vénale
    Le prix de ma vie en sera fatal,

    Combien de temps pourrais je encore tenir
    Quand tout m’entraîne vers tes longs soupirs
    Pour t'offrir le fruit de cette dévotion
    Et me pousser vers l'obscurité d'une déraison

    Ma vie se moque de l’interdit
    Et fasse de moi ce fruit maudit
    Je suis le puits qui s'en abreuve
    Je suis le peintre finissant l’œuvre,

    Et quand bien même nos corps seraient ainsi
    De cette petite mort fut à cet instant précis
    Nous donner l'extase puissant dans le divin
    Laissant libre cours à nos actes libertins

    Tu as fait de moi l'objet de ton plaisir
    De tes fantasmes dont tu n'as plus à rougir
    Je me soumet à ta demande et bien sur j’obéis
    Être ton esclave car c'est toi qui m'as choisis,

     

    PascalH