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Textes pour Chansons

  • TEXTE 23 MAI 2011

     

    Tu est l'envers de mes fantasmes

    Ou ne rayonne plus cet univers

    Dont la légende n'as plus de place

    Dans les carcans enfouie sous terre,

     

    Tu n'as plus payer ton service

    Longtemps loger dans ta matrice

    Ou ces humains néo complice

    Vendent leurs âmes à leurs supplice

     

    Et tu divague en espérant

    Que les entrailles de ce néant

    Donne à manger à tes enfants

    Dans l’alvéole du temps présent,

     

    Et tu t'en vas aux creux de tes soucis

    Pour disséquer la peur de tes envies

    Le nuit passé à espérer pour ta survie

    Et demeurer cacher au fond du puits,

     

    Tu n'as plus payer ce service

    Longtemps loger dans ta matrice

    Ou ces humains néo complice

    Vendent leurs âmes à leurs supplice

     

    Tu as laissée ta terre aux chiens

    Et t'attend maintenant plus rien

    Qu'une espérance sauver les tiens

    Mais t'as pas choisie l'bon ange gardien

     

    Et tu t'éclipse dans ce brouillard

    T'as plus d'amour à mon égard

    Pour finir au creux d'un désespoir

    Usée et à l’abri de ton dernier regard

     

    Tu as fini de payer ce service

    Longtemps loger dans ta matrice

    Ou nos humains néo complice

    Vendent leurs âmes à ton supplice

    PascalH

  • Chronique d'un suicide annoncé

     

    Je descend chercher ma bière au drugstore de tes envies

    Mais tu regarde vers l'enfer ou tu régale ton appétit

    Bienvenu tu me disais dans les plis de ton cerveau

    Et moi je te calculais pour t'échapper à nouveau,

     

     

    La chambre de ton amour est verrouillée

    Et je suis sur ta route allonger éclater

    Tu pense passer ton tour, mais cette fois c'est raté

    Dis moi quel mélo t'est en train de me jouer,

     

     

    Tu t'enfonce dans cette mer pour y noyer tes pensées

    Ne me parle pas de ton calvaire, le mien viens de commencer

    Je ne te poursuivrai pas si tu me le demande même par amour

    C'est ton absence qui te surprend à vivre , à qui le tour,

     

     

    La chambre de ton amour est déverrouillée

    Et je suis sur ta route allonger éclater

    Tu pense passer ton tour, mais cette fois c'est raté

    Dis moi quel mélo t'est en train de me jouer,

     

     

    Ce chien qui veille sur ton passé jette un regard vers toi

    Ne cherche plus ni ne regrette il là trop fait pour toi

    Pour poursuivre sa route et t'envoyer cette carte postale

    Du fin fond du désert ou règne ces putains de crotales

     

     

    La chambre de ton amour est verrouillée

    Et je suis sur ta route allonger éclater

    Tu pense passer ton tour, mais cette fois c'est raté

    Dis moi quel mélo t'est en train de me jouer,

     

     

    Tu plaide devant les astres qui t'on vus t'immoler

    Présider par ce diable qui joui de te voir consummer

    Et tu têve encore à cette atlantique dans ces fantasmes dictés

    Te poussant plus loin dans ce marasme ou ton ombre c'est enlisé,

     

     

     

    La chambre de ton amour est à nouveau murée

    Et je suis sur ta route je recherche mon ame éparpillée

    Tu pense passer ton tour, mais cette fois c'est bien raté

    Dis moi quel mélo t'est en train de me jouer,bébé

     

     

     

     

     

     

  • Sacré Cow-boy

    Dans ce salon ou tout le monde cause

    Je soudain pris envie d’une dose

    Pas de cette farine qui enrichi le dealer

    Mais me jucher sur le taureau tout à l’heure

    Si tu crois que la vie d’un fermier

    D’un garçon de vache , d’un garçon boucher

    Te laisse la place pour t’aimer

    Ce n’est que sur le dos de cette vache

    Que je veux rester

    Mes petites bottes de cuir

    Ça sent la bouse, la paille , la crotte

    J’aime les faire reluire

    La graisse est si avantageuse , mon pote

    Pas de repos et c’est bien çà le pire

    Pour des gars comme moi, c’est le délire

    Je ne peux plus reculer

    La bête est là , mon numéro à été tirer

    Les sangles , je vais bien vérifier

    Le sort en à été jeter

    demain peut être , on diras de moi

    courageux gars , il étais venu pour ça

    Mes petites bottes de cuir

    Ça sent la bouse, la paille , la crotte

    J’aime les faire reluire

    La graisse est si avantageuse , mon pote

    Le compte à rebours est lancé

    A droite , à gauche je suis lancé

    Fétu de paille, j’aurais du m’appeler

    Mon chapeau à terre est écraser

    La bête cherche bien à m’éjecter

    Chaque coup de rein sont là pour me le rappeler

    Mes petites bottes de cuir

    Ça sent la bouse, la paille , la crotte

    J’aime les faire reluire

    La graisse est si avantageuse , mon pote

    La terre je viens d’y goûter

    La vache me piétine

    Il fallait s’en douter

    Mon corps va rester allonger

    Sur un civière on viendras me chercher

    La plume de mon chapeau c’est enfoncée

    Dans cet endroit que je n’aurais songer

    Il manquerais plus qu’on vienne la chercher

    ph