J‘ai acheté le Kâma sûtra,
Pour dirigé tout nos ébats.
J’ai effeuillé le Kâma sûtra,
Le caressant de mes longs doigts.
J’ai écorné le kâma sûtra,
Pour mieux m’y retrouver , c’est cela.
J’ai consumé le Kâma sûtra,
Et oui rien que pour toi.
Et toi, toi qu’est ce que tu fais pour moi,
Hé oui tu m’aime et tu n’as pas besoin de ça.
Cette page vient de ce refermer,
Sur l’affaire à peine dressée,
Pas un chapitre ne fut épargné
Pas une gravure ne fut oubliée.
Devant autant d’ampleur, le sort en est jeté
Comment faire devant tant d’aparté.
Et de ses mains qui se sont sacrifiées ,
Mon âme à cette heure en est damnée .
J’ai relâché cette amertume
Qu’y me met face à la lune,
Donnant ainsi toute ma fortune
Trésor caché dans ces belles prunes.
Puisard de toute l’humanité
Serment de foi lui est dédié
Mon cœur chavire , rien n’est caché
Pourtant je risque à tout avouer.
Tant d’énergie et de défi à relevés
Qu’une folie vient tout gâchée
Se retrouvant seul à contenté
Le seul plaisir qui soit donné.
ph