Entre naïveté et niaiserie, choisi ton camp
Et rien ne confirme ta place dans le rang.
Que celui qui dirige tant de méfait
Est il vraiment digne de ce fait,
Comment fait il pour ne pas rougir
Quand on lui attribue le pire.
Manipule sans état d’âme ton avenir
Devenant cet objet pour le servir.
Quels sont ces mensonges que l’on te sert
Peut être ceux d’être pervers
Qui communique leur méchanceté
Sont ils capable seulement d’aimer.
A défaut de leurs ignorance
Ils se servent de leur arrogance
Mais que t’as t’ont promis
Un tranche, une part de paradis
Pose toi seulement cette question
Qui se résume à une portion.
Tout ayant droit à l’absolu
Se cherche dans ce monde révolu
Ne pèche t’il pas par vanité
A force de ce croire légitimé
Par une quelconque usurpation
De celui qui ne porte pas de nom.
Cela vaut il encore la peine
De déployer autant de haine
Quand on fait de l’ignorance
Pour les vautours leurs seule pitance.
A croire que le meilleur ne devienne le pire
Force qu’on ne pourrais qu’en rire
La voie est ainsi tracé
Que l’on est dans un véritable merdier.
ph