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  • Rien de nouveau

    Comment juger de si peu de valeur,
    Car un sou est un sou de labeur.
    Plonge ta main au fond de ma bourse
    Tu l’estime à quel niveau cette source.

    Qui et de quel droit somme nous ainsi taxé
    Que d’écu à même nous nous voyons à verser
    Et quand bien cela est une obligation volontaire
    Pour qu’elle raison nous devrions nous taire.

    Comme les époques ce ressemble à ce point,
    La misère au rendez vous du quotidien
    Qui en est responsable face à cette démesure
    Ou l’on prend à celui qui travaille si peu où si dur.

    Il fut un temps où la république parlait ainsi
    Que ce temps révolu, loin du pain moisi
    Ou la nation n’était plus qu’une référence
    Plus de monarchie à se bourrer la panse.

    Mais démocratie, tu nous à menti,
    Les Nanti l’on pris
    Le pouvoir et le fric aussi.

    PH

  • Paradoxe

    Doux pays comme on te l’as souvent dis
    Cette politique à fait de moi ton ami
    Je n’ai d’attrait qu’à te plaire
    Ne fusse que l’on me considère
    Comme créature celle que l’on nomme cerbère.
    Mes paroles sont elles si gauches
    Blessant ainsi nobles esprits, et de bonne cause.
    Que de ma droiture digne d’inertie
    Reflète l’idée d’actes maudit.
    Qu’il en soit ainsi et que même si l’histoire
    Fasse de moi le tartufe de ce siècle
    Je serais encore plus digne d’y paraître
    Et si une opinion ne se dégage de cette attitude
    Le poids pesant me dirigeras à ce moment vers la solitude.
    Puis je enfin te faire comprendre que mes maux
    Ne seront de juste cause , ainsi résonne ces mots.
    Ph