Douce et sublime femme dont le corps m'ensorcèle
Quand resonne ta voix mes yeux d'un coup étincelle
Et de cette chaleur que tu partage sans retenu
Me reconforte quand je me sent souvent perdu.
De ton visage , de tes levres couleur vermeil
De ton sourire qui illumine et rayonne ainsi
Ma bouche est comme attiré ton corps de miel
Et je jubile en butinant cet endroit au plis précis,
Tel un cerf qui s'abreuve à cette rivière de plaisir
Je lape ta chair, me nourissant de ton humus déposé
Arrache à ta gorge de puissants et délicieux soupirs
Ce doux breuvage qui m'envivre de cette odeur poivré
Car son goût ne me permettra jamais dans être rassasié.
Un jour peu être l'odeur et le goût de ma chère liqueur
Seront pour toi aussi important que de celle dont j'ai à coeur
De m'enivrer juqu'à ce que l'extase vienne me libérer.
La douceur de ta main sur ma tige qui s'étire.
D'une sensation étrange sur ce point de mir
La chaleur de ta paume qui décuple mon envie
Reposant sur mes précieuses bourses pleines de vie.
La légereté et l'agilité de la caresse de tes doigts
Font gonfler les vaisseaux qui draine ce qui gonfle mon mat,
Mon désir ne feignant plus sa nature, je me repend sur toi
Fasse que ses mots qui me tienne et me domine , me chatois
J'aspire à de bien plus fortes et délicieuses sensations
Pour ne jurer que pour ton emprise, de ta fougue, de ton intention
Couvrant ainsi les envies les plus inavouables d'une passion
PascalH