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Essai mars 015 2011

C'est souvent dans l'obscurité ,au plus profond de moi

que germe le mal qui souvent me tenaille

comment expliquer cela quand tout les mots se perdent

dans le flot d'un courant qui me dépasse, qui me submerge.

comment trouver la véritable attitude,le sens de ma vie

que pourrais je dire de plus, sans être une puéril conversation

que de ce que je ne ne t'ai encore jamais dit, jamais avouer.

Les autres vivent dans leurs monde,

et bien qu'ils semblent en être proche

ils ne sont que le mirage, un oasis de solitude profonde.

ce n'est pas que les gens me font peur, mais j'en suis méfiant,

Ils ont en général cette fâcheuse attitude de te solliciter

c'est comme si tu devenais l'élément qui comble le vide

et se raccroche à cet amour qui est devenu un leurre , une utopie.

J'ai déposé sur tes lèvres le plus doux des baisés

De ce contacts humide de la pulpe de ta bouche, mon aimée

j'en retire de cette agréable sensation de joute apposée

Cette sensation de fraicheur pris à la source, et m'y délecté

J'ai éfleuré de ma langue tout ces mots qui s'en sont échappés

Pour mieux t'offrir les miens ils te sont offerts, vas tu les aimer,

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