Je t'ai glisser quelques notes à l'oreille,
Sur l'oreiller ou tu pose tes nuits
Quand tout s'impose à ton sommeil
Tes yeux fermés loin de l'ennuie.
Tu t'aventure loin de moi mon aimé
Ainsi ton corps se livre aux songes
Sur les nuages, les vagues de tes pensées
Tu prend d'un coup ton envol , et tu plonge,
Dans un univers qui échappe au temps
Ou sont gardé tout tes rêves d'enfant.
Et si ta respiration devient haletante,
c'est que certainement tu as peur
Dans ce cauchemar qui t'étraint
Seule , dans la pénombre et sans lueur
Des choses enfouie, celles que tu craint.
Mais au reveil , tout s'efface, rien ne reste
Que quelques bribes de tes images laissé
Là sur le sol , pret à être balayé
Repartir à la vie , et n'en garder qu'un zeste.
PH