Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Essai 22 avril 2011 04

Nous avons tous un jour caresser ce rêve
Nourrissant ainsi notre mal et notre nostalgie
Déposant des points de repères à chaque étapes
Risquant de tout perdre en faisant de cela notre vie.

A chaque moment gâché par notre exigence
Nous étions caché derrière l’arbre de l'ignorance
Celui qui porte l'autre nom cette conscience
Trempant nos sentiments dans le calice de la médiocrité.

Et puis transformant en drame , ce que nous touchons
Nos mots écrasant ce que nous aimons
Puisant ainsi dans la rime de nos textes
La rhétorique des malheurs de ce siècle.

Et comment regarder maintenant vers le ciel
Éclairant l’esprit , de cette simple bougie
Cause de ses discours qui se veulent de miel
Se mêlent ode et complaisance d'un état de fantaisie.

Découvrant l’acte ,et pris par un profond désarroi
Celui ci nous détourne de cette grandeur, de notre foi
Nous précipite vers l’abîme d'une sombre folie
Ou les âmes crient à tue-tête, avons nous mérités ceci

Puis de l'amertume qui en à fait son dogme
Bouleversé par tant vision propre à cette dévotion
Je me blesse de propos, en frappant ma poitrine
Prisonnier dans ce corps où l'horreur domine.

Ma vie n'est pas de nature à comprendre
Ma mort est une devenue ma certitude
Ma peur un long silence dans mes veines
Mon âme n'est pas ce qui m'interpelle

Les commentaires sont fermés.