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Reflexion avril 2011 002

 Que doit on entendre par consécration de ses pairs lors de l’événement qui conduit à la place que l’on convoite depuis tant d’années.

Est ce que temps travaille pour nous où bien toutes ces intentions ne sont elles au demeurant futiles, comme pour placer la mélodie parfaite et que la meilleure des synchronisation soit la révélation du parfait concept musical.

Est ce que l’afflux de publicité ne met pas en péril la véritable identité de cette imbrication musicale, la sortant de son véritable concept.

Les coups de boutoir médiatiques sont comme des coups de semonces, avertissements d’un temps révolu, et puisse dans le passé de nos blessures à peine refermées, ce désir de souffrance.

L’art se prostitue au nom de la sainte révélation auditive et se vautre dans le lit acoustique de la masse attentive à la substitution vibratoire qu’on lui sert à chaque minute de sa pauvre existence.

La muse est ainsi disséqué, débité et vendu en tranche pour le meilleur du pire. Le serpent monétaire à enfin gober sa proie, et il digère ce succès qu’il convoite depuis si longtemps.

Les marchands du temple musical sont assis à la table du seigneur de la pop et celui ci distribue les dividendes aux actionnaires, puis se régale de cette aubaine et fructueuse rentré de capitaux.

Ou est le véritable labeur musical et comment se fait il que nous soyons arrivé , à nous enfermer dans cette citadelle inhumaine , où la créativité ne tient plus qu’à une caution marginale et que le sons ne se fabrique que sur ordinateur, peut on encore parler de musique et somme nous encore musiciens.

Faudra il un miracle, pour que ressorte des oubliettes le véritable langage musical.

 Enfin ils nous reste les maux des mots.

PascalH

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