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Texte 02 10 2011

Mes Amis, il est vrai que ce silence fut si long,
Dois je vous démontrer ses circonstances atténuantes
Peut être pour en décharger l'inquiétude, de ses jours amers
Mais que puis je puisque vous dire que ma vie fut si bizarre,
Las de tant d'écueil nourrissant cette cause ou le malheur frappe
Quand tout devient si désolant , d'un moribond mis en spectacle
Comme ce jour ici bas , devenu si proche et loin du présent
Sans le lendemain parti pour l' inconnu , comme une âme disparu.
Cette absence en dit long parfois et je me maudis de n'avoir pas oublié
Pour que cette ignorance qui sert les intérêts d'un monde imparfait
Fasse de nos peurs le socle de tout les malheurs qu'un destin peux engendrer,
Pas une once d’oubli pour effacer simplement les actes mineurs
Ce qui donne le poids à cette terrible frayeur devant ma propre mort
Puis quand les actes sont devenus sans importances pour les uns
Les autres en font leur lit de désespoir et de l'amertume
Le chemin n'est plus si sur qu'au début de nos années profondes
La distance et le temps ne seront plus jamais nos alliés
La mort ne deviendra que notre seule et unique récompense
De cet état notre position d'être humain sera remise en question
Car nous en prendrons acte de cet attachement à notre différence
D'un attrait qui n'en restera qu'à la mesure solliciter par l’abstrait
Est ce de cette vie sans attente , sans sursît , sans réminiscence
Que s’écoule les marques d'un avenir qui ne sera que dérision
Sans ses personnages devenant ainsi les marques de l'infortune
Qui ne seront ni Roi , ni Page d'une quelconque ode d'une soumission
Le chemin n'en deviendra que l'unique rouage d'un douloureux destin
Est à tort et pour n'en perdre que juste le pouvoir souverain de cette raison
Aboyant sur le porteur de nos souffrances qui nous amène vers cet abyme
Quand chaque pas de cet aboutissement enterrera nos envies abyssales
Dois je pour autant percer mon cœur de conséquences et de regrets
Pour que mon rire se substitue aux pleurs de nos années épuisées
Dont ces larmes perles d'émotions l’écoulerons vers la mer de nos terres,

 

PascalH

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