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  • Essai texte avril 2011 005

    Chronique d'un suicide annoncé,
    Ou faut il prêcher pour ne pas se retrouver un jour avec la corde autour du cou,
    Et de quel moral puissions-nous nous gaver pour éviter l’éternel remous de notre conscience

     



    Le drame est à venir
    Je regarde , j'observe mais rien ne se passe
    Peu être que le destin de cette lumière n'est plus au fait de suivre notre trace, et c'est certainement la mort de notre ombre,

     



    A réflexion faite,
    Notre penchant pour la vérité absolu nous égarent souvent, car au moment que celle ci nous revient comme un boomerang ,cela nous désarme en un instant,



    La conséquence de la vie
    Le goût pour la mort est en parti caché, car dans nos rites ancestral notre peur de celle ci est à jamais imprégné dans nos esprits, Pour comprendre il faut savoir, et cela passe par l’expérience et la confrontation , nos handicaps sont souvent d'ordre infantile, ce qui biaise notre jugement tout au long de notre vie,

  • Essai avril 2011 008

    Ce mur ou s'écoule le sang des impies
    De part et d'autre aspire ce temps à l'infini
    Les êtres qui se déchirent dans de fratricide combat
    Ont perdu leurs âmes dans ce royaume ici bas,

    Dans le fracas et la brutalité les corps ensanglantés
    S'entasse comme la lie de ses vies ainsi jetés
    Ici la mort érige et dicte de son glaive la souffrance
    Vois ce spectacle puis déchire la chair comme pitance,

    Entend tu les gémissements comme un ode à l'horreur
    Déverse son lot de misère en ce langage de peur
    Puis atteste de cette folie d'un génocide orchestrer
    Tél un culte à la souffrance par ses coups portés,

    Les larmes du ciel sont perlées de leurs sang
    Se mélange à la terre comme deux amants
    Enlace dans son linceul la chair des mourants
    Pour qu’à jamais leurs actes s’inscrivent dans le temps,

    PascalH

  • essai avril 2011 009

     

    L’art d’en être vraiment certain, en suis je vraiment convaincu

    Le poids de ma vie n’est pas monnayable

    Le poids de ma mort en est elle souhaitable

    Comme dans un univers obscur , ou l’éclat d’un miroir

    Ne laisse pas un seul instant l’idée de recevoir

    Cette image qui aurai pu être le reflet

    De cet avenir qui d’un seul coup, ne reste que le présent.

     

    PascalH