Hé, ma sœur
Est ce la frigidité qui t’accompagne
Que dis tu à cette joie de vie qui te réclame ?
Hé , ma sœur
Cette liberté que tu as perdu
Ne cherche pas dans l’imaginaire vertu
Que dis tu de ces batailles que l’on ne défend plus ?
Hé, ma sœur
Dis moi tu pense encore à ce passé
Comme si un sort en est jeté
Que dis tu de savoir que le rire n’est plus ?
Hé , ma sœur
Tu te laisse gagner d’un paraître
Ou seul les hommes décide de ton être
Que leurs dis tu pour paraître bien sage ?
Hé, ma sœur
Si réellement ont t’avais tromper
Que tout les mots sont des leurres en fait
Que pense tu donc de cette destiné ?
Hé, ma sœur
Comment réagi tu à tant de mépris
Que reste t-il de tes envies
Fait ce que l’on te dis.
Hé, ma sœur
Le tableau est bien noir
L’amertume est de pair
Et il te faut te taire
Hé, ma sœur
Bonne chance pour la suite
Car ta destiné en est bien triste
Moi , ma religion est l’altruisme.
ph