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Essai mars 021 2011

Que pourrais je comparer à ton sourire,
Tel un rayon de soleil dans la brume
Qui se dissipe sous sa douce chaleur
comme ce vent chaud au sommet d'une dune.
Que pourrais je comparer à ton regard,
Rempli d'amour digne d'une prêtresse
Pour me soumettre d'esclave à être hagard
Puissante et douloureuse morsure de ma maîtresse.
Tu enflâmes mon désir qui s'active et me consume
Le feu ardent de ce plaisir que tu sais si bien attiser
Brûle mon coeur et mon corps tout entier
Tu fait de moi un être damné par ce fait
Et de ton  bon appétit je te laisse me dévorer.
PH

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