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Essai 21 mai 2011

J'aurais voulu rester le poète d'un soir
Mais mes vers ne sont plus qu’illusoires
J’aurais aimé rester celui qui un jour t'as séduite
Mais le temps n'as pas su nous donner de suite
J'aurais voulu rester cet amant de toujours
Mais de notre horizon tu en avait fait déjà le tour
J'aurais aimé t'offrir plus qu'il n'en fut pour t’encenser
Mais de l'immensité de ton plaisir n’ai je songé à l'apprivoiser,
J'aurais voulu être l'unique amour de ta vie
Mais c'est dans ce brasier que tout c'est consumé
J'aurai aimé rester le compagnon que tu espérais
Mais la vie n'as rien voulu savoir et me voilà brisé
J'aurai voulu peindre sur le tableau de ta jeunesse
Mais ma main ne pu se révéler pour en trouver l'ivresse
J'aurai aimé découvrir toute cette joie de vivre
Mais je suis maintenant comme un bateau ivre
J'aurai voulu être de ceux qui te louange
Mais ma voix m'offusque à présent et m'est étrange
J'aurai aimé te sécher tes larmes pour ce pardon
Mais ma cœur en as perdu tout espoir et sombre dans la déraison
J'aurai voulu te couvrir de ses baisers que l'on offre qu'une fois
Mais mon âme c'est déchirer sur les rochers de mon profond désarroi
J'aurai aimé m'offrir à ton salut pour te reconquérir
Et mettre toutes les louanges à tes pieds rien que pour ton plaisir
Mais les marques d'amour que tu m'avais confié ont finie pas se dissiper
Car sur les flots de cette passion notre navire sur la grève c'est échoué
Et je suis devenu le martyr du poids de mes sentiments ensablés
Mon existence n'est plus que le fardeau de ce corps épuiser, lassé
Et pourrais je encore faire face à la peur de cette raison fatigué
Que n'ai je fait, que n'ai je su , que n'ai je accompli
Et que reste il de la grandeur de toute une vie.

 

PascalH

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