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Zappa suite mai 2011

On à souvent plus à apprendre sur un artiste qu’à se raconter des salades sur un tel où un tel. Nous devons chercher sans doute à nous rapprocher de la lumière, ou de cette énergie de cet artiste pour nous partager les miettes que celui ci daigne bien nous laisser en gage de sa reconnaissance.
A notre tour de remercier en adoptant le mimétisme parfait , le gestuel qui nous arrachera de la médiocrité de cette vie de tout les jours .
Enfin je ne pense pas qu’un type comme Zappa le voyait ainsi cet univers musical, enfin de ce que j’ai pu en comprendre, en lisant sa biographie, et les quelques livres de Guy Darol et Christophe Delbrouck.
Bien, sa musique en dis long sur le phénomène, et peu d’artiste dans le sens noble du terme peuvent se venter de lui arriver à la cheville .
Il n’est pas simplement un guitariste émérite, mais un compositeur insatiable, un véritable leader, un chef d’entreprise, et une grande gueule (de son vivant bien sur).
La gueulante, il ne l’appuyait pas sur la base de ses cordes vocales, mais dans son attitude , simple et à fois précise et imprévisible comme sa musique.
Pas besoin de faire d’esbroufe, juste ce qu’il faut pour te mettre suffisamment de décibel, un bon choix dans l’application de la mesure, un tiraillement des basses vers le bas, un ajustement de la gamme parfaite, et une avalanches de bons mots, bien grossiers qu’on te colle dans la poire comme une tarte à peine cuite et dont le coulis te laisseras pendant quelques années le goût amer du véritable visage dépeint de la connerie humaine, politique et les choses insolvables .
Bref pour les gratteux comme moi, enfin si je peu encore me considérer comme musicien , vu le temps que je passe au boulot et pas souvent au chevet de ma gratte, nous diront que le nerf moteur de la guerre, c’est le fric, et comment on fait sans matos .
Qui peu prétendre aujourd’hui vivre de son art , à part peu être les véritable seigneurs du show-business , et pour combien de temps.
Un élément en pousse un autre, et le terrain de la consécration diminue à vue d’œil, attention au gouffre de l’oublie , aux oubliettes du stars système .
Je revient à nos moutons, je dirai plutôt au fil conducteur de mon inspiration rhétorique, à oui, jenesuispasunbonguitaristecarjauraisdubosserplusqueça ; bon sang non c’est pas çà, la teneur en politique, merde je disais quoi tout à l’heure, que, à mais c’est bien sur, pour les gratteurs du dimanche comme moi , jouant un peu plus que pour se faire plaisir, que la recherche du son et de la note (pas de la nouvelle gourde) est quand même un p’tit peu primordiale .
A force de se faire servir de la soupe , digne de la diffusion de nos chers médias de France , de Navarre et du royaume anglo-saxons , cela commence par nous casser nos petites burnes. (quoi j’ai dis petites, c’est parce que , tout ce qui est petit est jolie, bon ça va, grosses).
Je m’éloigne un tantinet de mon sujet encore une fois, si tu nous entend Franky, ne m’en veux pas trop, et ne m’attend pas pour l’apéro , je ne suis pas presser de monter voir l’autre barbu, enfin s’il existe vraiment.
Nous voilà dans le vif du sujet, quand il faut aujourd’hui faire preuve de créativité , c’est là que le bât blesse. Frank Zappa à été comme un puits intarissable de la créativité, et n’as laisser aucune goutte de son art s’évaporer, la moindre note était considérée comme une perle rare, et sa musique comme le meilleur ambassadeur de sa passion .

PascalH

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