La nuit n’est pas si sombre.
Comment et où se cache cette ombre,
Car devant tant de désir je capitule
Et devant tant d’obscurité je recule.
Comme une attente, un désir inachevé
L’ordre est devant, et je reste décontenancer.
Le meilleur serait il le pire
L’écoute ne serais sans dire
Que dans chaque impressions
Que dans chaque distinctions
Le mal est là, latent
Respirant chaque maladresse
Courant tant qu’il n’y aura de cesse
Dans un dédale ou les âmes tourmentées
N’aurons pas de repos, trouvée.
Mais quel seras le châtiment pour celui qui d’effroi
N’auras que pour unique discours, le bien de soi
Sans avoir l’indulgence et l’ingénue humilité
Dans un élan de repentant, courber l’échine, s’agenouiller.
ph