Qui que nous soyons, notre envie est plus forte que tout
C’est en cela que consiste à poser la question : Que désirons nous ?
Savoir si la ressemblance est bien celle là
que les dommages de cette vision ici bas
Nous poursuivent , pour devenir le résultat de notre décadence
Sans être sur que le miroir le cet inconnu aspire le fondement.
De notre hérésie , puisse en son nom sublimer la religion
Et définir le réceptacle de la folie comme son précepte .
Petite nonne n’as pas envie de dormir
La peur est son linceul
Petite nonne sous la rafale respire
La mort en est son deuil.
Le sourire est souvent de glace
Où la peur bien à sa place
L’horreur rugit des profondeurs
Ne laisse aucune chance , la mort.
Petite nonne dans cet abri
Compte à quel prix
La folie de l’homme ici bas
S’étire , avant de d’imploser en petits tas.
Dans cette atmosphère de crainte latente
Les mots sont remplacer par des ordres
Les cris se partagent avec les sanglots
Le sang devient ce tapis vermeil, et je cris !
Petite nonne recherche dans son cœur
La paix pour partager sa chaleur.
Qui veux vraiment la paix
Et non la guerre.
ph