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  • Qui que nous soyons...

    Qui que nous soyons, notre envie est plus forte que tout

    C’est en cela que consiste à poser la question : Que désirons nous ?

    Savoir si la ressemblance est bien celle là

    que les dommages de cette vision ici bas

    Nous poursuivent , pour devenir le résultat de notre décadence

    Sans être sur que le miroir le cet inconnu aspire le fondement.

    De notre hérésie , puisse en son nom sublimer la religion

    Et définir le réceptacle de la folie comme son précepte .

    Petite nonne n’as pas envie de dormir

    La peur est son linceul

    Petite nonne sous la rafale respire

    La mort en est son deuil.

    Le sourire est souvent de glace

    Où la peur bien à sa place

    L’horreur rugit des profondeurs

    Ne laisse aucune chance , la mort.

    Petite nonne dans cet abri

    Compte à quel prix

    La folie de l’homme ici bas

    S’étire , avant de d’imploser en petits tas.

    Dans cette atmosphère de crainte latente

    Les mots sont remplacer par des ordres

    Les cris se partagent avec les sanglots

    Le sang devient ce tapis vermeil, et je cris !

    Petite nonne recherche dans son cœur

    La paix pour partager sa chaleur.

    Qui veux vraiment la paix

    Et non la guerre.

     

    ph

     

  • Suis je troublé ?

    Comment exprimer tant de bonheur

    En me délectant devant tant de splendeur

    Quand de mon regard émerveillé

    Je n’ai de cesse de contempler.

     

    Vous charmantes créatures

    De vos formes et cambrures

    Provoque l’émoi, la déchirure

    Devant votre image en gravure.

     

    Pourrais je de mon profit

    Vous observer sans bruit

    Vision de rendez vous secret

    Ici le charme en est concret.

     

    Comment vous remercié pour ce spectacle

    Où chaque moment est un miracle

    Puis la réalité vous bouscule ainsi

    Mon dieu que l’homme est petit.

     

    La passion doit elle se limiter au seul choix

    D’une trajectoire où le cœur n’est plus roi

    Et qui pourrais aujourd’hui concevoir

    Que la vision ne devienne illusoire.

     

    J’aimerai que ce doux ciel vous ressemble chaque jour

    J’y baignerai mes yeux comme langage d’amour

    Et sur l’écume de vos cheveux resplendissants

    J’y allongerai mon âme et mon esprit d’enfant.

     

    Mère, c’est en toi que je puisse l’origine de mon nom

    Et chaque instant nourrie cette passion

    Car maintenant je jette mon corps à tes pieds

    Pour devenir l’atmosphère qui t’est destiné.

     

    C’est en vain que je cours vers des chimères

    Et au fond de vous , vous n’avez que faire

    Vos actes sont tel l’impitoyable poignard

    Voilà pourquoi votre amour est si rare.

     

    Pour cette raison , me voici comme un lion en cage

    Savoir quel en seras le véritable message

    Partageant d’un seul coup cette confession

    Et l’acte rare , sublimant cette folie en exception.

     

     

    Que dois on faire des plaisirs solitaires

    Les laisser de coté, pour bien faire

    Ou bien en d’autres mots, profiter

    De ce que la vie nous a confier.

     

    Et rien de tel pour la santé.

     

    ph

  • Job apocalypse 80

     

    Je trempe mon pain blanc dans le bol de l’infini

    Univers sans trace et latent, où rien ne ce passe ici

    Déboule vers l’absurde où est écrit l’origine des mots

    Injures, cris basculant vers ce monde distillant les maux.

     

    De cette vision qui n’est plus un parjure

    Le sang nourri les dieux , il en est que plus pur

    Que cette couleur à cette absence d’état

    Demeure le lapsus, proverbe d’un émoi.

     

    Suis je encore sur de cette vérité

    Plus rien à ce moment n’est calculé

    Comment puiser la force qui se meurt

    Quand cette attente , est ce là le leurre.

     

    Qui pourrais encore parler de sagesse

    Quand rien ne transforme cet hommage en liesse

    Le cœur n’est plus seul responsable de cette méprise

    Comment et quel oreille aimerai que l’on lui dise.

     

    Les jeux du cirque ne sont plus comme avant

    Et ce flambeau qui crépitent nous rappelle ce serment

    L’horreur que l’on traîne devant cette foule qui acclame

    Alimente cette douleur qui deviendra l’unique drame.

     

    Seule la preuve de cet incommensurable dialogue

    Entre les clones d’un univers et leurs discours apologue

    Dans cette arène ou les coups se mêlent , entrechoque les âmes

    Déversoir du liquide amer , fiel qui résulte d’un blâme.

     

    Je ne pourrais étancher ma soif de savoir

    Comment pourrais ne plus encore y croire

    Le peu d’année qu’il me reste à vivre

    En serviteur du mot, pour vous le dire.

     

    ph