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  • La structure musicale

    C’est à n’y rien comprendre

    Dois t’il se dégager de cette ouverture rythmique un architecture gérée par le non sens ?.

    Est ce que la première impression du concept dois t’il aussi séparer toutes idées logique dans sa conception ?.

    Le son qui s’en dégage n’est il pas le sombre reflet de l’accouplement répétitif de chacun de ces battements relayer par les notes successive dans un enchevêtrement où la perception de chaque repère est caché par l’ornement primordiale .

    Est ce que la condition intrinsèque ( aboutissement de la composition ) dégage en réalité la modulation primordiale qui en fait la base de son écoute intuitive ?.

    L’acheminement aléatoire de chaque battements , donnent à la dimension du morceau la perception d’un acte purement illusoire et la pulsation syncopé où antagoniste laisse en suspend la forme intériorisé comme l’idée d’une composition hasardeuse.

    Comment définir le moteur qui alimente sa puissance in directionnelle, comment en séparer ses éléments et que dans la réalisation la plus subtile , les tenants et les aboutissants se retrouvent dans un espace à la fois restreint et immense devant le gestuel de son acte.

    Est ce l’idée à la fois compliqué à l’extrême , ou la forme simpliste de son originalité , il faut souvent lire entre les silences et les notes , qui est le roi et de qui sa muse t’on ?

    . Puis doit aussi se nourrir de ridicule en abordant avec tout l’élan et la fougue que comprend toute la spécificité de l’art sans oublier de dérouler le tapis rouge, pour qu’il soit encore foulé par la multitude des incultes ignorant de la véritable symbolique et devoir concevoir que la place qui leurs est réservé n’est autre que le siège sur lequel nous somme déjà assis.

    Comment après tout, le dénouement , les explications, les justifications, les heurts, les conséquences et les conclusions ne sont qu’ici pour meubler le vide qui nous effraye.

    Aurions nous donc assez de force pour dirigé de main de maître la cadence d’un acte déjà consommé et dont la cendre de la valeur réelle acquis et alloué à la forme déraisonnable originelle , s’envole dans le fracas de portes ouverte et refermées , formant un gigantesque courant musical et comme dans un acte d’une rigueur sans précédent , la tension laisse place à une forme plus jouissive.

    Le mouvement à ce moment est ingérer, digéré, puis expulsé , disséqué perdant ainsi au passage toute la vivacité qu’il s’était octroyer à la base.

    Il retombe comme oublié de ses pairs, perdant ainsi tout attachement à la véritable valeur à là quelle il était conçu.

    Suivre le courant qui nous porte ou subir sa trajectoire , se détacher de son magnétisme ou en faire les frais, se dérogé à son mutisme ou en subir la conséquence, ouvrir le bal et jouir de cet instant qui sera à jamais graver dans notre esprit et dont la chair de nos intentions ne deviendrons que nos inattentions.

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  • A mon neveu

    Les mots sont soulevés,

    un à un en cadence,

    comme un bijou précieux,

    un peu comme une danse

    le ballet des jours heureux.

    Le regard humide,

    L’œil collé à la glace

    J’imagine cette place

    Dans l’espace où maintenant

    tu réside.

    Plus qu’un rayonnement,

    Plus qu’un sourire,

    C’est le plaisir, le bonheur,

    Le plus profond d’un souvenir

    Pour te le dire.

    Quand chacun de ces instants

    Où le poids de cette douleur

    Mon cœur transporte ton sourire

    Mes larmes sèchent et s’évaporent

    Dans un soupir.

    Place ton âme plus près de moi

    Et de cet ombre qui me calme

    Sérénité de chaque instant

    Je pense très fort à toi.

    Le chant des oiseaux me réconforte,

    De leurs doux et apaisant discours,

    Ils font de toi l’image forte

    Où dans nos cœurs tu as ta place

    Oui , pour toujours.

     

    Florian (1992-2003)

     

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  • Les mots à découvert

    A force de l’évoquer en son nom

    Le mot devient un rite, comme un pardon

    Un risque tel, qu‘il flirte la déraison

    L’empreinte même d’une compassion.

    Le besoin de l’écriture est ainsi

    Quand la couleur des mots dissipe toute envie

    Roulant ceux ci vers les abîmes, par dépit

    Les restes ne sont pas ceux des incompris.

    La vision des choses, se retient d’elle même

    Poursuivant le cours de sa mutation

    Elle découvre cette peur qui recèle

    La vérité et la trajectoire de sa mission.

    Puisant dans les profondeur du néant

    Elle redouble d’efficacité sur l’horreur

    Et remet au goût du jour se levant

    Vers les horizons devenant son leurre.

    Puis dans un sursaut tel le chacal

    Elle détourne de sa nuit , ce reflet

    Accompagné par un long et profond râle

    Découpe d’un acte imaginaire, cet amour défait.

    Le repos devient une quête , pour cet achèvement

    Ou chaque rivalité est la somme des erreurs commise

    Le risque en est à la requête qui désigne l’aboutissement

    D’un retournement d’attitude , ironie d’une crise.

    Je reste pantois devant tant d’incertitude

    La lenteur de mon esprit dénonce ma maladresse

    Il m’en faudrait plus pour masquer ma solitude

    Et laisser cours à l’envahissement de la tendresse.

    Le sort n’est pas troqué

    La vie n’est pas acquise

    Le mort n’est pas dompté

    Qu’ont se le dise

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