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  • Le devenir

    Voici tant de jours à se découvrir

    Le soir seul se donne à sourire

    Quand la vie dure jusqu’au soupir

    Peut on en rire à n’en plus finir

    De cet amour reste le loisir

    Comment amis aurions nous pu le dire

    De ces enfants qui sont le point à partir

    Et ces moments qui nous déjouent du pire.

    Comment aimer sans se retenir

    Comment savoir sans se découvrir

    Comment s’étreindre sans se mentir

    Comment comprendre notre avenir

    Puisse mon ignorance ne pas te faire souffrir

    De ma présence, là ou elle devais te soutenir

    De mes angoisses qui te ferons rougir

    De cette peur , celle de mon devenir.

    Bien que mes mots sont au cœur de mon ressentir

    Que de ses moments brillent au présent du souvenir

    Comme cette absence que je ne peu définir

    De ton amour discret, celui que je devais découvrir.

     

    Peut on se pardonner, à soi et aux autres

    Que dans l’absolu ou demeure le faute,

    Rien ne pourras témoigner sans parjures, sans apôtres

    Que cet amour sincère est bien le notre.

    ph

     

     

     

     

  • Le combat

    Le choc dut être si grand

    Quand voyant ces corps gisant

    je sus alors à ce moment

    que la bataille fut celle du sang.

    Les glaives sur son parcours

    Taché de l’acte en cours

    Attendent là , sans recours

    Le moment de leurs retours.

    La chair à vif , pitance offerte

    Aux dieux du ciel, gages de leurs perte,

    Aiguise le regard ,la vision entrouverte

    D’une âme à l’instant inerte.

    Déchiqueté par l’appétit des corbeaux

    Repas gracieusement prisé par assaut

    Répétant la bataille pour chaques lambeaux

    Dans un déchaînement de cri et d’actes bestiaux.

    Nos regards se croisent sur cette image qui m’effraie

    La forme est elle que la peur réside à jamais

    Dans cet affront ,là où la mort se satisfait

    De nos déchirement perpétuel, elle est aux aguets.

    La sol en est imprégnée, de cet odeur, de cette fratricide destinée

    Qui en serrât pour l’éternité, dans sa chair imprégné

    Aux attentes , prostrée dans la noirceur maculée

    Qui nous glisse inexorablement vers l’obscurité .

    Le pourrissement de nos os, en est le prix

    Jamais ne sous estime mon ennemie

    Que nos joutes soient tel l’infamie

    Plaie béante d’une longue agonie .

     

    Suis je encore en ce monde qui s’éteint avec moi

    Les bruits me semble si lointain à présent, à mi voix

    Je m’évanouis dans cet épais brouillard , curieux endroit

    Où mes restes funèbres seront le guide de mon trépas.

    Le combat fut mortel

    Et ma destinée sans pareil

    La fin annoncée est éternelle

    La sentence est bien réelle.

     

    ph

     

     

  • Sacré Cow-boy

    Dans ce salon ou tout le monde cause

    Je soudain pris envie d’une dose

    Pas de cette farine qui enrichi le dealer

    Mais me jucher sur le taureau tout à l’heure

    Si tu crois que la vie d’un fermier

    D’un garçon de vache , d’un garçon boucher

    Te laisse la place pour t’aimer

    Ce n’est que sur le dos de cette vache

    Que je veux rester

    Mes petites bottes de cuir

    Ça sent la bouse, la paille , la crotte

    J’aime les faire reluire

    La graisse est si avantageuse , mon pote

    Pas de repos et c’est bien çà le pire

    Pour des gars comme moi, c’est le délire

    Je ne peux plus reculer

    La bête est là , mon numéro à été tirer

    Les sangles , je vais bien vérifier

    Le sort en à été jeter

    demain peut être , on diras de moi

    courageux gars , il étais venu pour ça

    Mes petites bottes de cuir

    Ça sent la bouse, la paille , la crotte

    J’aime les faire reluire

    La graisse est si avantageuse , mon pote

    Le compte à rebours est lancé

    A droite , à gauche je suis lancé

    Fétu de paille, j’aurais du m’appeler

    Mon chapeau à terre est écraser

    La bête cherche bien à m’éjecter

    Chaque coup de rein sont là pour me le rappeler

    Mes petites bottes de cuir

    Ça sent la bouse, la paille , la crotte

    J’aime les faire reluire

    La graisse est si avantageuse , mon pote

    La terre je viens d’y goûter

    La vache me piétine

    Il fallait s’en douter

    Mon corps va rester allonger

    Sur un civière on viendras me chercher

    La plume de mon chapeau c’est enfoncée

    Dans cet endroit que je n’aurais songer

    Il manquerais plus qu’on vienne la chercher

    ph