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  • La révolution de l'être

    La révolution de l’être est si proche , que je peux  sentir

    Elle se dévoile dans cet opprobre, que chacun doit nourrir .

    Dans le dédale d’une mort annoncée, elle est en déroute

    De la véritable pensée et quoi qu’il en coûte.

    Et mon regard se pose à la mesure de son agonie

    De ces larmes qui coulent comme l’on interdit

    Sont à la mesure de cet échec démesuré

    Plongeant dans l’attente de l’acte imaginé.

    Je reste là, et lascivement mon esprit

    Prend en compte la démesure de la vie,

    L’instant est à présent dans ce futur

    Ou l’acte frappe d’un coup dur.

    Le combat n’est plus ici

    Il se rivalise avec l’ennui

    Le monde cherche ses convictions

    Pousser par toutes les passions.

    La boite de pandore est ouverte

    Nous sommes arc-bouté sur son couvercle

    Mais nul ne pourras la refermer

    Car dans nos chairs, le destin est scellé.

    Avant que le sol ne se dérobe sous nos pieds

    Nos âmes nous seront à jamais retirer,

    Nos ailes devront être déchirées

    Dévoilent ainsi , le sordide trophée

    D’un règne ou les morts se maudissent

    Ou la peur nous servira d’office

    Quand le dernier mot sera donné

    En gage d’une mort programmée.

    Seul au rivage de cet absolu remous

    L’espérance est elle au rendez vous

    Un jour peut être

    L’acte va renaître.

    ph

  • Ma blessure

    Peuple d’Afrique entend ce cri

    Comme le vautour dans la nuit,

    Le mal qui ronge tes entrailles

    Cette mère que l’on à mis à mal.

    Comment effacer aujourd’hui toutes tes blessures

    Que tant de peuple t’ont fait à cause de leurs culture,

    Comment t’exprimer cette peine

    Comme une honte qui devient mienne.

    Peuple d’Afrique entend ma voix

    Elle brasse les vents divin pour toi,

    Pour qu’ils recueille tout cet amour

    Qu’il te faudra et pour toujours.

    Peuple d’Afrique prend mon pardon,

    Il est la cause de nos actions

    Ma seule richesse est à présent

    Dans tout le cœur de tes enfants.

    Tant de rancœur nous séparent,

    Tant d’amitié nous accaparent,

    Tant de destins ce sont tournés

    Vers de terrible destinées.

    Je n’ai pas l’envergure d’un grand

    Pourtant je te parle en ce moment,

    De cet avenir qui nous guette,

    Nous refusons de disparaître.

    Et bien que je ne sois qu’un blanc

    J’aimerai que tout soit comme avant

    Car nous sommes comme des frères

    Et ici bas, nous respirons tous, le même air.

    ph

  • La tromperie

    Entre naïveté et niaiserie, choisi ton camp

    Et rien ne confirme ta place dans le rang.

    Que celui qui dirige tant de méfait

    Est il vraiment digne de ce fait,

    Comment fait il pour ne pas rougir

    Quand on lui attribue le pire.

    Manipule sans état d’âme ton avenir

    Devenant cet objet pour le servir.

    Quels sont ces mensonges que l’on te sert

    Peut être ceux d’être pervers

    Qui communique leur méchanceté

    Sont ils capable seulement d’aimer.

    A défaut de leurs ignorance

    Ils se servent de leur arrogance

    Mais que t’as t’ont promis

    Un tranche, une part de paradis

    Pose toi seulement cette question

    Qui se résume à une portion.

    Tout ayant droit à l’absolu

    Se cherche dans ce monde révolu

    Ne pèche t’il pas par vanité

    A force de ce croire légitimé

    Par une quelconque usurpation

    De celui qui ne porte pas de nom.

    Cela vaut il encore la peine

    De déployer autant de haine

    Quand on fait de l’ignorance

    Pour les vautours leurs seule pitance.

    A croire que le meilleur ne devienne le pire

    Force qu’on ne pourrais qu’en rire

    La voie est ainsi tracé

    Que l’on est dans un véritable merdier.

    ph