Somptueuse aimée au gout sans pareil
Habillée de tes meilleurs effets
De la base de tes chevilles à la base des tes hanches
Du mouvement gracieux de ta démarche féline
Du désirs que tu véhicule , parfum de ton charme
De ton sourire qui n'en n'ai pas moins ravageur
De tes lèvres qui domine le monde des hommes
De ta féminité qui devient légal d'un opium
Nous libérant de nos entraves et de nos chaines
Laissant libre cours à nos sens et nos phantasmes.
De tes courbes qui bouleverse l'état de mon esprit
Donnant le change à touts mes pensées enclavés
De ce bouillonnant appétit de ta chair
De cette envie de m'y enivrer jusqu'à perpétuité.
De toute façon tu connais bien ma façon
de t'aimer comme un lion aime sa lionne
De cette passion qui t'est souvent lourde à porter
De mon amour souvent comme une chaine à tes pieds
De ma fougueuse passion de ta chair et de ton plaisir
Dont j'aurais tant voulu te remettre à ton septième ciel
Et que dans cette extase de jouissance
tu trouve enfin le plaisir de ton existence.
- Page 17
-
-
essai mars 002 2011
Sur la toile de mes rêves de mon âme damné
J'ai dessiné ton corps de mes longs doigts affilés
Et sans obtenir de trêve car j'en suis l'esclave né.
Mes souvenirs guide ma main pour peindre mon aimée.
La caresse de tes courbes sur cette feuille de papier
Puisse en moi toute la sève et le désir ainsi irrigué
Pour te remettre ce présent , cette liqueur si sacré.
Puis je suis comme pris d'une contemplation inexpliqué
Te voir ainsi calme, détendu d'une beauté reposé
A ces lèvres rougie par le désirs de nos nuits passées.
J'effleure encore de passion cette peau avec générosité.
Puis je retourne à ce qui fait de moi cet être passionné
Je te soumet mon coeur et mon âme, je suis ton prisonnier
J'espère simplement que tout cela ne soit pas trop lourd à porter.
-
Essai mars 001 2011
Longues , douces et fuselées
je vous présente les jambes de mon aimée.
j'aime à caressé ce bel ouvrage
que la nature nous à donnée en gage
de pouvoir profiter de cet absinthe féminine
nous régalant ainsi de nos regards anonymes.
puis dans ma paume j'enveloppe ce divin présent
pour remonter pressé comme un amant
Ce beau mollet qui décuple ce désir intime
puis je dirige mes doigts vers la cime.
Ce chemin qui me conduit à la déraison
Brûle en moi et décuple mon émotion.
j'arrive à cette vallée de la genèse
Le coeur battant , où l'homme fut glaise
pour recueillir ce musc sacré
et de ma bouche s'en délecté.