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  • Essai mars 006 2011

    Douce et sublime femme dont le corps m'ensorcèle

    Quand resonne ta voix mes yeux d'un coup étincelle

    Et de cette chaleur que tu partage sans retenu

    Me reconforte quand je me sent souvent perdu.


    De ton visage , de tes levres couleur vermeil

    De ton sourire qui illumine et rayonne ainsi

    Ma bouche est comme attiré ton corps de miel

    Et je jubile en butinant cet endroit au plis précis,


    Tel un cerf qui s'abreuve à cette rivière de plaisir

    Je lape ta chair, me nourissant de ton humus déposé

    Arrache à ta gorge de puissants et délicieux soupirs

    Ce doux breuvage qui m'envivre de cette odeur poivré


    Car son goût ne me permettra jamais dans être rassasié.

    Un jour peu être l'odeur et le goût de ma chère liqueur

    Seront pour toi aussi important que de celle dont j'ai à coeur

    De m'enivrer juqu'à ce que l'extase vienne me libérer.


    La douceur de ta main sur ma tige qui s'étire.

    D'une  sensation étrange sur ce point de mir

    La chaleur de ta paume qui décuple mon envie

    Reposant sur mes précieuses bourses pleines de vie.


    La légereté et l'agilité de la  caresse de tes doigts

    Font gonfler les vaisseaux qui draine ce qui gonfle mon mat,

    Mon désir ne feignant plus sa nature, je me repend sur toi

    Fasse que ses mots qui me tienne et me domine , me chatois


    J'aspire à de bien plus fortes et délicieuses sensations

    Pour ne jurer que pour ton emprise, de ta fougue, de ton intention

    Couvrant ainsi les envies les plus inavouables d'une passion

    PascalH

  • Essai mars 005 2011

    Comment te définir cet amour qui brûle en moi
    depuis tant d'année que je m'en vois damné
    Comme un refrain qui n'en finit jamais
    Est-ce pour cela que nous sommes fait
    S'il te pese de  supporter cette passion
    comme un lien, une chaîne, une prison
    En suis je coupable , si c'est le fait
    Je ne peux que t'en demander pardon.
    Mais de ces années qui nous ont accompagnées
    De ces obstacles que nous avons survolés
    Et puis de ces instants fort de notre amour
    Sont gravés là, au plus profond de mon coeur.
    Et bien souvent le sort m'attriste de n'être que le témoin
    De la naissance d'un papillon émergeant de sa chrysalide
    je ne veux pas de ce fait et au regard de ta liberté
    T'emprisonner de peur de ne plus jamais te retrouver.

  • Essai mars 004 2011

    J'ai posé ma bouche sur ton puits d'amour
    Glisser ma langue pour m'y délecter
    aspirer tes lèvres pour mieux les goutter
    Et de mon nez caresser ton humide contour.

    Ce sont mes doigts qui me l'on dit
    Viens donc là, place toi ici
    Tu découvriras sous ce petit pli humide
    Toute la tendresse d'un accueil pour ta liqueur de vie.

    Et puis pour ne pas le vexer
    Ce petit bout de chair il te faut l'embrasser
    Le glisser sous ta langue pour mieux l'emprisonner
    Et faire jouir ta belle en la  titillant de faveurs  endiablés.