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Puis je aujourd'hui et ainsi remettre à tes pieds
Ces perles, ces rubis , émeraude et diamants taillés dans l'ivresse
Modestes cadeaux pour te faire oublier ce miroir qui te blesse
Rassure toi ma douce ce n'est que fausseté d'une image
Le présent n'est que le fardeaux du passé inachevé,
Laisse cette peur de l'avenir , rien à voir avec ta véritable destiné,
Souvent partager entre joie et tristesse
Le flot de ces années qui ne font que passées
De nos regrets , souvenirs de notre jeunesse
Et de nos amours qui nous ont à jamais délaissé,
Mais ne t'en fait pas ma douce, mon ange, mon aimée
Je te dois reconnaissance de m'avoir tant aimé
Et me m'avoir offert tout les printemps de tendresse
Partageant ta vie , ton amour et ton éternelle jeunesse,
C'est un vrai p'tit rayon soleil m'as ému,
Quand moi le vent je m'engouffre sous sa jupe fendu,
Ses longues et belles jambes me donnent souvent le tourni
C'est un vrai plaisir de les froler , hum avec appétit
Je les souvent caressé du bouts de mes doigts appliqué
Remontant vers sa toison , sagement et bien décidé
Vers son entre cuisse dont la douceur m'as transporté
Car dans la moiteur de sa grotte , hé oui je m'y suis attardé
Cela n'est rien de vous dire ce qui m'as bouleversé,
Découvrir ce plaisir immuable d'y apposé ma bouche d'air
De ma langue fraiche qui détaille a coup sur son secret , son ether
Car je sent le plaisir de mon passage sur cette chair enflammé
J'en est fait mon régal moi qui sillonne ses vallons parfumés
Aujourd'hui je m'attaque à ta robe légère
Tu vas me reconnaître je suis ton petit courant d'air,