Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 11

  • Essai mars 021 2011

    Que pourrais je comparer à ton sourire,
    Tel un rayon de soleil dans la brume
    Qui se dissipe sous sa douce chaleur
    comme ce vent chaud au sommet d'une dune.
    Que pourrais je comparer à ton regard,
    Rempli d'amour digne d'une prêtresse
    Pour me soumettre d'esclave à être hagard
    Puissante et douloureuse morsure de ma maîtresse.
    Tu enflâmes mon désir qui s'active et me consume
    Le feu ardent de ce plaisir que tu sais si bien attiser
    Brûle mon coeur et mon corps tout entier
    Tu fait de moi un être damné par ce fait
    Et de ton  bon appétit je te laisse me dévorer.
    PH

  • Essai mars 020 2011

    Il fut un temps ou nous nous aimions,
    Sans jamais se poser de questions
    Les rires, les sourires nous donnaient du courage
    La tendresse et l'amour n'était que partage
    Et les mots tendre se melaient à l'unisson.
    Mon amour, ma tendre aimée , ma cherie
    Mais depuis quelques temps comme une ombre indécis
    Sur notre complicité se repend en profondeur,
    Qui t'écarte de moi et qui n'est qu'un leurre,
    Ce bonheur qui se presente à toi n'as pas de fondement
    C'est simplement le fait de jouer sur tes sentiments
    Et quand le jeu laisseras place à l'enjeu
    Tu verras que ce n'était qu'une fumée sans feu.
    Ce n'est pas du désespoir, ni de la colère
    Simplement te mettre en garde contre le coté pervers
    De cette relation qui catalyse ton esprit loin de moi
    Car d'une petite vibration d'un message tu n'est plus toi.
    Reprend conscience et confiance en nous , il est encore temps
    Lui n'as que faire du futur , ce qui l'intéresse c'est  le présent
    De profiter d'une jouissance et un jour te laissera en plan.
    A moins que toi aussi tu désire profiter de tout cela pour t'évader
    Et ne me laisser que quelques moment  pour simplement l'aimer.
    Simplement mon amour  on ne construit rien sur du vide
    Lui navigue dans ton coeur , et joue sur la peur de tes rides.

     

  • Essai mars 019 2011

    Je t'ai glisser quelques notes à l'oreille,
    Sur l'oreiller ou tu pose tes nuits
    Quand tout s'impose à ton sommeil
    Tes yeux fermés loin de l'ennuie.
    Tu t'aventure loin de moi mon aimé
    Ainsi ton corps se livre aux songes
    Sur les nuages, les vagues de tes pensées
    Tu prend d'un coup ton envol , et tu plonge,
    Dans un univers qui échappe au temps
    Ou sont gardé tout tes rêves d'enfant.
    Et si ta respiration devient haletante,
    c'est que certainement tu as peur
    Dans ce cauchemar qui t'étraint
    Seule , dans la pénombre et sans lueur
    Des choses enfouie, celles que tu craint.
    Mais au reveil , tout s'efface, rien ne reste
    Que quelques bribes de tes images laissé
    Là sur le sol , pret à être balayé
    Repartir à la vie , et n'en garder qu'un zeste.
    PH