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  • Son souvenir me blesse

     

    Elle s’est offerte comme un bouquet

    De mille pétales  de sentiments

    Comme une amante lance sur le quai

    L’ultime baiser qui vole au vent.

     

    Et moi stupide que j’ai été

    Gardant pour moi mes émotions

    N’ayant  pas su y décelé

    L’amour si fort que nous avions.

     

    Aujourd’hui fait que mon aimée

    Fuis ma personne, j’en suis la cause

    Est triste ainsi à en pleurée

    Car sa passion se tourne vers autre chose.

     

    Me voici puni d’un acte que je n’ai pas voulu

    Le tort pour moi c’est de n’avoir rien vu

    Ou occulté tout ces moments

    Forts de tendresses et de sentiments.

     

    Ma belle,  à présent  c’est éclipsé

    Vers une contré ou son cœur doit  être aimé

    Et moi, je reste maintenant seul  sur ce quai

    Ou plus jamais ce train me ramènera celle que j’aimai.

     

    PascalH

  • Le Fox à poil dur

    Bien que je ne cherche pas à monopoliser l'intention des gens, je ne peux m'empêcher d'écrire où de parler. Je ne suis que moi même , un apprenti musicien qui au fil de mes années de galère artistique ne détient qu'une parcelle de son univers. C'est peu être comme une putain de thérapie qu'on vous sert comme un bol de soupe fade, bien graisseuse et indigeste qui nous rebute à la première cuillerée. C'est souvent comme une gigantesque participation avec ses dérivés pervers et ses rencontres impromptu du troisième dogme . J'ai comme beaucoup déserter l'idée de caresser le Fox à poils dur au profit d'une vie bien rangée , pour laisser le coté insipide de ce  royaume qui n'est pas le mien, la mort viendra nettoyer toutes mes plaies. Comme cette langue qui me nourris de ses frasques et de ses facéties, l'ordre des choses s'en retrouvent chamboulés dans un désordre où la conscience humaine n'as plus de repères. Le corps est pris entre ces flots ravageurs qui distinctement d'une raison à l'état latent bouleverse l'ordre universel de mes pensées. Bref ne vous y tromper pas car je peu faire disparaître de mon imaginaire toute lucidité comme piqué sur le vif créant ainsi l'envol de mes dires où seule la compréhension ne serrât pas d'actualité.
    Comment puis je me nourrir de cette miction dont les poètes aujourd'hui ont déverser dans le labyrinthe de ma déraison intellectuelle que de cet ascendant qui dans un dernier sursaut essaie de diriger mon parcourt. L'assemblage de mes propos n'est que le fruit de cet hasard fortuit qui n'a que pour objectif de défaire les choses, et me dévie de ma nature pour mieux me propulser dans le néant de mes contradictions. Je suis qu'un personnage déphasé avec son moi et de cette psychanalyse glauque je ne n'en tire aucun profit. Je suis nulle part et partout à la fois et je me marre de mes discours reflétant cet esprit qui de rime en rime divague. Est ce une raison pour que ce trésor reste à jamais enfoui dans ce labyrinthe ou chacun des fils d'Ariane ont trompés l'oublie pour l'éternité , où les reste de mon esprit putréfié serra déterré à la prochaine lune.

    Croyez que le pire reste à venir et il n'y aura pas de dommage à mon délire.

     


    Amicalement et vive la mort

    PascalH
    .

  • C'est difficile

    On aime les autres comme on aimerait qu’ils soient. On a toujours cette sensation d’être perdu quand l’être qui vous est cher décide de vous quitter. On pense qu’il n’y a qu’un seul amour et que cela durera toujours. On se fait du mal, on se déchire, on règle nos contentieux, on déballe notre sac, on se fait de multiple reproche, et au bout du compte on n’a pas avancé d’une once. On se choisie souvent à cause de critère parasites, une ressemblance avec une personne de la famille, une attitude que l’on à remarquer inconsciemment un jour et comme celle-ci se représente sous d’autre hospice on croit détenir la personne que l’on attendait depuis si longtemps,  défini comme le coup de foudre. On pense qu’il ou elle sera celui qui nous donneras cette sécurité, cette joie de vivre, cet équilibre, nous raviras des moments les plus fou, nous émerveillera par son altruisme, nous fera découvrir sont l’univers, et nous partagerons ce pain quotidiens de l’amour chaque jour, les yeux dans les yeux, sans une parole plus haute que l’autre.  Même dans les films ou les livres  les plus romantiques, cela n’existe pas. Cette belle utopie ravie le cœur des jeunes filles, des jeunes femmes, des femmes célibataires, divorcées et bien sur les femmes marié qui sont lassé d’une vie routinière et qui ne savent plus trop comment et pour qu’elle raison elles sont encore a espérer le retour de cet amour qui les à fait vibrer au début de leurs rencontre. Le prince charmant, qui n’est autre que le narcissisme et le machisme à l’état pur. Il est vrai qu’a part la religion, les arts, la recherche du savoir, et bien autres activités (peu être aussi le Q) , il nous est difficile de passé entre les mailles du filet de la naïveté. Le pire ensuite est de croire que la liberté nous est offerte au bout de la rue. La liberté nous ne la posséderons jamais car à un moment où un autre, i l nous vaudras nous conformer à une demande bien précise, sans quoi nous ne pourrons ni avancé, ni évoluer. J’adore les gens de bonne attention, qui vous prêche, vous donne les conseils miraculeux, et ceux qui peu être de bonne foi donne leurs jugement pour un acte qui se révéleras lourds de conséquence, alors qu’ils ne connaissent ni les antécédents, les tenants  et les aboutissants  de cette décisions  envisageant une rupture. Ils sont toujours de bon conseils, comme partout, comme votre banquiers, vos parents, votre médecins, votre garagistes, vos amis, vos meilleurs amis, non pas vos meilleurs amis , je parle des véritable ( pas ceux qui se sont imposer ou défini comme tel )car ceux là vous aident à voir plus clair et construire , ou reconstruire pour mieux grandir et évoluer sans cassure, sans déchirement et vous soutienne pour continuer quand  vous avez la conviction que les choses ne doivent pas s’arrête comme cela et qu’il n’y à pas de fautes, mais des attitudes à re synchronisé. Nous faisons tous des erreurs, mais sont elle dommageables, sont elles sans possibilité de retour, de compréhension, de recherche sur soi même et de totale remise en question, et de mieux être, et qui les à conduite à ce mettre en place. Que l’on le veuille ou non c’est toujours à condition égale et la proportion est toujours le cinquante cinquante.  S’il y a doute dans notre décisions, c’est que nous n’avons pas tout les éléments en main pour prendre celle-ci, et gageons d’écouter pierre, Paul où jacques qui ne sont pas les acteurs et qui n’ont la plupart du temps à ne pas s’occuper des histoires des autres.