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Poèmes - Page 2

  • Le Roi des Cafards

    Je regarde par cette fenêtre ou la buée  à envahit la vitre par une condensation morbide rivale de cette brume qui assoupie la nuit.

    C’est ainsi que les ombres dansent sous l’œil amusé de la lune qui étouffe ses angoisses pour asservir les fantômes de son âme.

    Je pose mon attention et m’émerveille de ses instant ou le temps s’écoule et joue la chamade avec ses secondes qui se nourrissent de ma vie.

    Le tic tac de l’horloge flirte  avec mon passé, passage d’une vie ou la mort programmé de cette existence pèse comme une chape de béton sur mon âme.

    Désormais seul sur cette route mes mots n’ont pas  plus d’importance qu’un jet de pierre dans cette abime ou ma passion à perdu la raison.

    Mon cœur rythme mes doutes, et cette angoisse se nourrie de ma peur, je saigne au-delà de ma chair et ce qui fut s’estompe avec le silence qui envahit la plaine.

     

    Tel un insecte qui  arpente le corridor de la mort

    Quand la  démesure enivre le rôle de l’acteur

    Pour n’être que le reflet de ce qui fut ainsi  la vie

    Je me jette à terre et prie de n’être à sa merci.


    Je mesure le temps qu’il lui faudra pour m’écraser

    Un périple morbide pour une cause inachevé

    Mon existence est telle que j’aurai aimé sourire

    Sourire à la vie, juste pour  ne point ainsi mourir.

     

    Ed

  • Hommage à Edgar Allan Poe I

    Je découvris ainsi le monde tel qu’il était, la démesure n’était qu’un pis-aller vis à vis de ma vision des choses.
    Se morfondre n’était pas une solution et je m’accrochais à l’espoir que cette chose allait me sauver, enfin j’étais crédule et me rendit compte que l’obscurité grandissant dans mon esprit n’était que la face cachée de ma véritable nature.
    Le fil des années à me morfondre sur des sujets qui ne valaient guère mon attention m’ont dévié de ce que normalement mon existence était destinée.
    Regardant ainsi le passé, je m’étais assoupi, ici dans l’immobilisme le plus total et n’ayant à présent plus qu’à attendre le prochain train:


    Ce chat noir est entré dans cette pièce close depuis bien longtemps

    Ne se soucie plus de ses habitants en âmes perdues mirages d'antan

    Miaule en ce pavanant devant le miroir pour immolé le temps présent

    Dans cet espace sombre ou s'accumule la poussière aux effluves d'encens.



    Le chat noir à posé sa patte sur le carreau embrumé

    Les coussinets de celle-ci laissent la trace du passé

    Comme une arabesque les marques en sont imprimés

    Dessiné dans un doux ronronnement, puis s'en est aller.



    Le chat noir n'est plus qu'une ombre ici

    Séparé de son corps vieux, las et meurtri

    Sa présence fut ce que néglige le temps

    Comme une plainte lâché pour un instant .



    Miaulement dédié pour mon cœur déchiré

    Je suis devant le dur tribu d’une vie passé

    Observant les moments ou ce sont prélassé

    Dans les profondeurs ou la vie n’est plus éclairée.



    Le chat noir se détache de l’univers de la mort

    Son âme n’est plus qu’un reflet du mauvais sort

    Et les vers qui songent à se repaitre de son corps

    Se réjouissent pour l’instant pour ce qu’il reste encore.



    Nous ne sommes que le reflet de notre seul désespoir

    Ou les flots de nos maux se dessinent sur ce miroir

    Pour ne paraitre qu’au moment ou s’abreuve le soir

    Et couvrent nos vies d’un linceul de cette âme si noire.



    Je suis enfanter par la pire de cette mélancolie

    Elle me tord les viscères , tout ceci sans un cri

    Fouille en moi puis découvre ce qui me pourri

    S’amuse de savoir qu’elle tient car je suis maudit



    De ses cendres fut un temps ou l’exigence était

    Comme une appartenance à un monde paraissait

    De cette certitude en accomplissant le souhait

    D’une vie ou l’oublie se mesure à ce que l’on fait.




    Je suis si seul que ce cœur ne cesse de saigner

    De toutes ses chaines, elle m’en avait débarrasser

    Mais il me manque l’essentiel et de pouvoir continuer

    Cet amour qu’elle ne pourra jamais , c’est ainsi me donner.



    Le chat noir regarde l’horizon

    Je ne me rappelle plus son nom

    Il hante mes pensées , ma raison

    Et noyant dans l’alcool j’enterre ma passion.

    Ed.

  • Hommage à Edgar Poe

    Ce chat noir est entré dans cette pièce close depuis bien longtemps 

    Ne se soucie plus de ses habitants en âmes perdues mirages d'antan 

    Miaule en ce pavanant devant le miroir pour immolé le temps présent  

    Dans cet espace sombre ou s'accumule la poussière aux effluves d'encens. 

     

    PascalH, Quae Libertinus, Edgardepoe.