Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Poèmes - Page 11

  • Essai 06 juillet 2011

    Je suis au terme d'une vie ou règne le chaos
    Ou chaque chose qui est en phase de devenir fardeau.
    Quand mon âme clame son innocence devant le supplice
    De ses larmes coulent en flots vers cette profonde abyssine
    Nous donnerons en pâture ce cœur meurtrie par la douleur
    Le dernier sacrement de nos idées devant le fléau de la passion
    Pour s'abreuver du miel de nos plaisirs imaginaire et inavouables.
    Comment retrouverons nous le chemin de notre vérité
    Et à quel moment les vaisseaux qui règne sur l'absurdité
    S’échoueront sur les récifs ou nos délires vont s'embrocher
    Tels des pantins sur les flots de nos pensées mis à mal et agité
    Sombrer ainsi dans le néant de toute ces choses que l'on à oublié.

    PascalH

  • Juste rien

     

    je jongle avec ces mots qui me font si peur

    J'ai conscience de ce qui fait mon malheur

    Ayant perdu l' esprit dans le labyrinthe de mes pensées

    Ma poésie se meurt de l'espoir que l'on vienne la sauver.

    J'ai chercher trop souvent l'amour

    Pour qu'il ne me fuit à présent

    J'en ai fait de trop long discours

    Pour savoir ce que j'en ressent

    Et maintenant il ne me reste que ton reflet

    Comme le filigrane de cette passion qui était

    Qui me pousse malgré moi vers cette abîme

    Ou sont engloutie tes pleurs qui m'assassine.

    PascalH

     

  • Essai 14 juin 2011

    Le saint drone m'est apparu un soir de juin,
    où quand toute lumières éclairantes c'était éteintes
    Comme ces comètes fusionnant dans mon esprit scabreux
    Donnant à manger aux scarabées de ma conscience
    Quand rien n'était encore fondé , quand rien n'était encore,
    Le souffle ne régnait pas ici et son image se dessinait
    Les larmes de ma vie se déversaient dans le chapeau du monde
    Elles auraient envahie le méandre de mon inutilité
    Ou le temps joue avec l'idée d'une mort innée
    Cachant la peur dans le fond de sa poche
    Pour mieux la faire apparaître d'un seul coup
    Comme cette écharpe vermeil qui orne mon cou.
    Tout c'est passer à l'intérieur, mais ai je bien tout compris.

    PascalH