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Poèmes - Page 14

  • Brève 31 mai 2011

    Que restera t'il pour l'âme de nos enfants égarés
    Quand dans l'antre du diable les ordres sont dictés
    Serviteurs du mal vous voilà ainsi sagement attablés
    Qu'il en soit de votre obéissance pour l'éternité.

    PascalH

  • Alléchant désir

    Ma bouche convoite ce doux présent
    Cette rivière pour l'être aimant
    Pour caresser du bout des lèvres
    Tout les replis sur cette grève

    Puis j'y appose ma langue en usufruit
    Pour découvrir l'antre secret de ton envie
    Débordant de passion pour l'acte suprême
    Et ce penchant pour tout ces jeux extrêmes,

    Et puis de mon doigts complaisant et délicat
    J’écarte la corolle de cette entrée d'état
    Puis y constater la sécrétion ton désir
    Je m'en imprègne et me délecte dans un sourire

    Ce puissant nectar enivre mon être
    Plus fort qu'il ne laisse paraître
    Et je suis à la merci de ta liqueur vénale
    Le prix de ma vie en sera fatal,

    Combien de temps pourrais je encore tenir
    Quand tout m’entraîne vers tes longs soupirs
    Pour t'offrir le fruit de cette dévotion
    Et me pousser vers l'obscurité d'une déraison

    Ma vie se moque de l’interdit
    Et fasse de moi ce fruit maudit
    Je suis le puits qui s'en abreuve
    Je suis le peintre finissant l’œuvre,

    Et quand bien même nos corps seraient ainsi
    De cette petite mort fut à cet instant précis
    Nous donner l'extase puissant dans le divin
    Laissant libre cours à nos actes libertins

    Tu as fait de moi l'objet de ton plaisir
    De tes fantasmes dont tu n'as plus à rougir
    Je me soumet à ta demande et bien sur j’obéis
    Être ton esclave car c'est toi qui m'as choisis,

     

    PascalH

     

  • Bribes de poèmes mai 2011 f

    Est ce la quête pour parjurer cette page vide
    Ou le sens dit aux choses que l’on prisent
    Qu’il n’est pas de fardeau, comme il n’est pas de rides
    Sur la peau des années , ou notre jeunesse rivalise.

    Le mal est en nous à la première heure
    Nous laissant ainsi quelque peu désolé
    De cette  impuissance qui démasqueras le leurre
    D’un départage de le tourment et désigne le labeur.

    Que faudrait il croire de ces pieux discours
    Se trouvant  pris de remords et de tristesse
    Puis dans l’espoir de retrouver cet amour
    Partir en quête d’un tourment qui n’auras de cesse.