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Poèmes - Page 7

  • Bribe de texte 16 10 2011

    Elle se couche à demi nu sur mes espoirs insensés
    Me donnant l'air de rêver à des ébats inachevés
    Ma main caresse délicatement à travers le tissu sa peau
    Et puise en moi toute les envies comme tout avant propos
    Puis pour la servir lui rendant au mieux les plaisir de chair
    Happant le fruit défendu pour en dévorer l'incendiaire
    Je me repend après l'acte ou la fusion suit l'extase
    De ses prières qui prisent l'envie d'un règne de dévotion,

    PascalH

     

  • Texte 02 10 2011

    Mes Amis, il est vrai que ce silence fut si long,
    Dois je vous démontrer ses circonstances atténuantes
    Peut être pour en décharger l'inquiétude, de ses jours amers
    Mais que puis je puisque vous dire que ma vie fut si bizarre,
    Las de tant d'écueil nourrissant cette cause ou le malheur frappe
    Quand tout devient si désolant , d'un moribond mis en spectacle
    Comme ce jour ici bas , devenu si proche et loin du présent
    Sans le lendemain parti pour l' inconnu , comme une âme disparu.
    Cette absence en dit long parfois et je me maudis de n'avoir pas oublié
    Pour que cette ignorance qui sert les intérêts d'un monde imparfait
    Fasse de nos peurs le socle de tout les malheurs qu'un destin peux engendrer,
    Pas une once d’oubli pour effacer simplement les actes mineurs
    Ce qui donne le poids à cette terrible frayeur devant ma propre mort
    Puis quand les actes sont devenus sans importances pour les uns
    Les autres en font leur lit de désespoir et de l'amertume
    Le chemin n'est plus si sur qu'au début de nos années profondes
    La distance et le temps ne seront plus jamais nos alliés
    La mort ne deviendra que notre seule et unique récompense
    De cet état notre position d'être humain sera remise en question
    Car nous en prendrons acte de cet attachement à notre différence
    D'un attrait qui n'en restera qu'à la mesure solliciter par l’abstrait
    Est ce de cette vie sans attente , sans sursît , sans réminiscence
    Que s’écoule les marques d'un avenir qui ne sera que dérision
    Sans ses personnages devenant ainsi les marques de l'infortune
    Qui ne seront ni Roi , ni Page d'une quelconque ode d'une soumission
    Le chemin n'en deviendra que l'unique rouage d'un douloureux destin
    Est à tort et pour n'en perdre que juste le pouvoir souverain de cette raison
    Aboyant sur le porteur de nos souffrances qui nous amène vers cet abyme
    Quand chaque pas de cet aboutissement enterrera nos envies abyssales
    Dois je pour autant percer mon cœur de conséquences et de regrets
    Pour que mon rire se substitue aux pleurs de nos années épuisées
    Dont ces larmes perles d'émotions l’écoulerons vers la mer de nos terres,

     

    PascalH

  • Essai 31 aout II

     

    L'homme est tombé à terre

    Le glaive ennemie l'a transpercé

    Il perd son sang sur la grève

    Mais son honneur est au plus haut rang.

     

    Comme ses compagnons d'armes venu de la mer,

    Courageux combattant fiers guerriers

    Ils ne connaîtrons de trêve

    Qu'une fois que la guerre soignera ses enfants.

     

    A chaque coup qu'ils reçoivent

    C'est un de leurs frères qui tombe

    A chaque coup qu'ils donnent

    C'est l'adversaire qui recule.

     

    Puissent les dieux leurs donner la victoire

    Que dans leurs clémence peu succombe

    Pour chaque mètre perdu leurs corps jalonnent

    Nous amenant à cette victoire,avant le crépuscule.

     

    L'homme est de glaise et son armée bat à terre

    Puisant dans les ressources qui lui ont été confié

    La meute ainsi lâchée honore la mémoire de ses pairs

    Et l'horreur dans cet élan théâtral, peux enfin commencer.