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Poèmes - Page 38

  • 30 ANS

    COMME PARTOUT IL FAUT BIEN UN COMMENCEMENT

    CAR DANS TES YEUX SE FIT L’ATTACHEMENT

    PUIS NOTRE AMOUR QUI LIE DEUX ETRES

    PRIT LE RELAIS D’UN LENDEMAIN SANS PEUT-ETRE

    DE CONCEVOIR POUR ENFIN RECEVOIR

    CETTE RECOMPENSE QUI COMBLE L’ABSENCE

    PAR DIEU QUI FAIT DE LA VIE LA PROMESSE

    UN ENFANT A L’IMAGE DE LA DELICATESSE

    PUIS L’ENFANT GRANDIT ACCUEILLANT SON CADET

    MUSE ENCHANTE LE LIEU BENIT A SOUHAIT

    PUISE ,LA ENCORE, DANS LA TENDRESSE

    AUTANT D’AMOUR QU’ILS NOUS EN RESTENT

    DANS LE PUITS PROFOND DE LA TRISTESSE

    LA MORT CERTAINE A FAIT LE RESTE

    UN ETRE CHER DISPARAIT

    UN AUTRE, LA , LUI APPARAIT

    TANT DE MOIS VONT SE PASSER

    A DECOUVRIR LA VIE DONNEE

    EUX A GRANDIR , NOUS A LES AIMER

    ET PUIS L’ADOLESCENCE EST ARRIVEE

    IL EN VA AINSI POUR CHAQUE AINEE

    QUAND LES OBSTACLES VONT SE DRESSER

    MAIS NOUS SOMMES LA POUR TE GUIDER

    MA DOUCE ENFANT , NOTRE TENDRE AIMEE

    ET DE TES FRERES POUR S’ACQUITER

    DE NOTRE AMOUR A PARTAGER

    PLUS FORT ET SANS COMPTER

    EN DEUX ,EN TROIS , C’EST L’EQUITE

    PREMIER MARIAGE POUR UN PAPA

    C’EST UN GRAND JOUR MENANT AU BRAS

    A L’AUTEL OU CHAQU’UN DE SES ENFANTS

    TROUVERA LE CHEMIN QU’IL ATTEND

    C’EST UNE FAMILLE QUI S’EPARPILLE

    COMME LE POLEN EN AVRIL

    OUI, C’EST COMME CA POUR TOUT PARENT

    DE LES VOIR GRANDIR ET SEMER AU VENT

    TRENTES ANNEES DEJA

    LE TEMPS N’A RIEN EFFACE

    DE LA NOTRE AMOUR C’EST ENCRE

    EN MOI , EN TOI

    IL RESTERA ETERNEL

    PH

  • La révolution de l'être

    La révolution de l’être est si proche , que je peux  sentir

    Elle se dévoile dans cet opprobre, que chacun doit nourrir .

    Dans le dédale d’une mort annoncée, elle est en déroute

    De la véritable pensée et quoi qu’il en coûte.

    Et mon regard se pose à la mesure de son agonie

    De ces larmes qui coulent comme l’on interdit

    Sont à la mesure de cet échec démesuré

    Plongeant dans l’attente de l’acte imaginé.

    Je reste là, et lascivement mon esprit

    Prend en compte la démesure de la vie,

    L’instant est à présent dans ce futur

    Ou l’acte frappe d’un coup dur.

    Le combat n’est plus ici

    Il se rivalise avec l’ennui

    Le monde cherche ses convictions

    Pousser par toutes les passions.

    La boite de pandore est ouverte

    Nous sommes arc-bouté sur son couvercle

    Mais nul ne pourras la refermer

    Car dans nos chairs, le destin est scellé.

    Avant que le sol ne se dérobe sous nos pieds

    Nos âmes nous seront à jamais retirer,

    Nos ailes devront être déchirées

    Dévoilent ainsi , le sordide trophée

    D’un règne ou les morts se maudissent

    Ou la peur nous servira d’office

    Quand le dernier mot sera donné

    En gage d’une mort programmée.

    Seul au rivage de cet absolu remous

    L’espérance est elle au rendez vous

    Un jour peut être

    L’acte va renaître.

    ph

  • Ma blessure

    Peuple d’Afrique entend ce cri

    Comme le vautour dans la nuit,

    Le mal qui ronge tes entrailles

    Cette mère que l’on à mis à mal.

    Comment effacer aujourd’hui toutes tes blessures

    Que tant de peuple t’ont fait à cause de leurs culture,

    Comment t’exprimer cette peine

    Comme une honte qui devient mienne.

    Peuple d’Afrique entend ma voix

    Elle brasse les vents divin pour toi,

    Pour qu’ils recueille tout cet amour

    Qu’il te faudra et pour toujours.

    Peuple d’Afrique prend mon pardon,

    Il est la cause de nos actions

    Ma seule richesse est à présent

    Dans tout le cœur de tes enfants.

    Tant de rancœur nous séparent,

    Tant d’amitié nous accaparent,

    Tant de destins ce sont tournés

    Vers de terrible destinées.

    Je n’ai pas l’envergure d’un grand

    Pourtant je te parle en ce moment,

    De cet avenir qui nous guette,

    Nous refusons de disparaître.

    Et bien que je ne sois qu’un blanc

    J’aimerai que tout soit comme avant

    Car nous sommes comme des frères

    Et ici bas, nous respirons tous, le même air.

    ph