Je suis si lucide que je vous confesse
Que ni de bravoure , ni couvert de liesse
Je me défend de ses erreurs passées
Même si la mort convoite ma destiné,
PascalH
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Je suis si lucide que je vous confesse
Que ni de bravoure , ni couvert de liesse
Je me défend de ses erreurs passées
Même si la mort convoite ma destiné,
PascalH
Devrais je me tenir pour coupable
Tel est mon cœur meurtri en soi
Comme si rien n'était réparable
Pour te faire revenir, enfin à moi,
Que rien ne laisse dicter à ce funeste présage
Pour qui demeure seul d'une réelle destiné
Et fasse de cet état ou rien n'est mirage
Que d'amour fusse ici à nous éclairer,
Est ainsi que les choses se terminent
Du peu qu'elles eurent commencer
A savoir si nos attentes nous dominent
Et que l'absence s'y est imposer,
Nous nous sommes croisé hors de ce monde
Ou nos espérances ont flirté jours et nuits
Faisant de nous ces amants d'une ère féconde
Pour que notre amour s'y retrouve grandit,
Tes larmes le seront pour notre espérance
Qu'elles soient le message de cette attente
Ne laissant plus la peine comme pénitence
A nos pauvres âmes déchues ,
PascalH
Que restera t'il pour l'âme de nos enfants égarés
Quand dans l'antre du diable les ordres sont dictés
Serviteurs du mal vous voilà ainsi sagement attablés
Qu'il en soit de votre obéissance pour l'éternité.
PascalH