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Poèmes et Pensées - Page 12

  • Facheux Dilemme

     

    Nous nous retrouvons tous à un moment ou un autre devant le fait de prendre une décision, A savoir avec l'expérience que nous avons si elle va dans le sens et l’intérêt de nos enfants et de nous même, Est ce coté du peu de maturité qui nous amène souvent à nous déchirer, pour ce rendre compte que ce n'est que de l'énergie perdu, et que l'on ne retrouve pas pour autant toute la sérénité, Doit on parler de pardon et qui devons nous pardonner, est ce la personne qui vous à pousser dans les moindre recoins de votre désespoir, ou est le fait que l'on ne veux pas grandir avec les expériences souvent douloureuse d'une séparation de corps et d'esprit,

    Pour ma part j'ai malheureusement l’impression de ne maîtriser aucun des éléments de ma vie, qui part le fait m’entraîne dans le tourbillon de l’incertitude et d’entraîner avec moi mes enfants et celle que j'aime encore, Me dire que je manque de maturité certes, mais n'est ce pas ce conflit qui germe depuis toujours en nous , est ce la peur de se retrouver confronter au prémisse de la vie et de recommencer celle ci alors que cette routine nous tenais bien au chaud dans le conformisme d'une vie bateau, On a certainement trop tendance à entretenir cette possession qui nous conditionne depuis l'enfance et l'on se positionne dans l'imposition de nos envies et de nos désirs par apport a l'autre ce qui fait de nous le geôlier de nos proches et surtout de celle ou ceux qui nous accompagnent, J'ai pris certainement en otage et conditionner inconsciemment en partie l’opinion et les sentiments que mes proches ont pour elle  , de peur de la voir partir j'ai paniqué, je n'ai pas été celui que je devrais être, et je n'ai ni rassuré, ni fait preuve de bon sens vis à vis de mes proches, Mais comme faire et sans expérience qui au préalable , est ce que je n'aurais pas fait la même chose et est ce que nous somme préparer à revivre ce type d'événement, Est ce que me comporterai mieux la prochaine fois si je me retrouve devant toute une série d’événement similaire je n'en  sais rien et je me garde bien de vous dire qu'aujourd'hui je détient ne serais ce qu'une infime partie de toute solutions à ses problèmes que nous rencontrons de plus en plus souvent,

    Bien à vous

     

  • A bientôt

    Je suis désolé mais je n'ai plus trop l'envie d'écrire en ce moment et encore moins de continuer la musique, et oui je vais rejoindre nombre de personnes qui divorce pour une raison où une autre.

    Je ne m'étallerais pas sur la cause mais pour vous qui avez encore une petite flamme dans votre coeur faite vous confiance, partager vos doutes, n'ayez pas peur de partager vos inquiètudes vis à vis des sentiments qui peuvent vous égarer et ne vous laisser pas séduire par des émotions futiles,

     Sachez pardonner et ouvrir votre coeur et vos bras , car rien ne se fait sans qu'il y est une raison au préalable.

    J'ai essayer de retarder cette issue avec tout mon amour , mais je ne peux garder ce qui n'est déjà plus présent.

    J'ai aimé comme vous avez pu le constater dans mes poèmes , et je ne sais pas si je pourrais encore aimer comme celà, alors je vous souhaite que vous vous aimiez aussi fort et que vous soyer unis car votre amour doit rester le plus pur.

    je survivrai car j'ai trois merveilleux enfants mais une partie de moi vient  de s'éteindre,  malgré cela je doit  poursuivre mon chemin.

    A bientôt.

     

  • Essai Texte 1er partie A

    La limousine l’emmène vers une destination inconnu.
    En ce mois de novembre qui est encore bien pourvu
    De ces arbres qui laisse l’hiver prendre possession
    Forme la haie d’honneur sur le passage de la passion

     


    Le tailleur était suffisamment moulant pour ne laisser dévoiler
    les reliefs de ses sous vêtements de cette femme de trente ans
    Nous laisse fort à appendre sur la plastique de corps charmant
    Frissonne, bien que le chauffage de la limousine soit apaisant.

     


    Le frottement incessant de ses jambes caresse par mouvement
    Sur cette banquette en cuir le galbe de ses jambes bronzées
    Laissant libre cour à ses songes et ses fantasmes imaginés,
    La voiture roule à vive allure comme pour rattraper le temps

    Comme si rien ne devais se mettre en travers et pourtant
    au fur et à mesure que le voiture avale les kilomètres.
    Le chemin ne s’achèvera pas sans main de maître
    Glissant ses doigts sous le tissu de sa jupe colle sa peau
    Dans l'antre cuisse ou il faut toujours si humide et si chaud.

    PascalH