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Poèmes et Pensées - Page 11

  • Essai 06 juillet 2011

    Je suis au terme d'une vie ou règne le chaos
    Ou chaque chose qui est en phase de devenir fardeau.
    Quand mon âme clame son innocence devant le supplice
    De ses larmes coulent en flots vers cette profonde abyssine
    Nous donnerons en pâture ce cœur meurtrie par la douleur
    Le dernier sacrement de nos idées devant le fléau de la passion
    Pour s'abreuver du miel de nos plaisirs imaginaire et inavouables.
    Comment retrouverons nous le chemin de notre vérité
    Et à quel moment les vaisseaux qui règne sur l'absurdité
    S’échoueront sur les récifs ou nos délires vont s'embrocher
    Tels des pantins sur les flots de nos pensées mis à mal et agité
    Sombrer ainsi dans le néant de toute ces choses que l'on à oublié.

    PascalH

  • Reflexions 30 juin 2011

     

    Nous avons souvent l’impression de tourner en rond, et à chaque fois que l’écho de notre pensée nous revient en pleine face, nous nous apercevons que nous somme en marge de la réalité.

     Comment être sur que nos choix sont les meilleurs, à défaut d’en faire nos ennemis .

    Comment grandir et accepter de grandir, et qui peut prétendre d’avoir cette rage qui nous permettras d’avoir cette victoire que l’on ne compte que sur soi même.

    Faut il passer par ce couloir , où les ombres de nos souvenirs encore fraîchement peint de cette hypocrisie si souvent dénoncé.

    Sont ils ici que pour montrer le doigt accusateur, car la liste est si longue fourni par nos erreurs qui ne sont pas encore inscrite dans le futur.

    Faut il acquiescé bêtement pour en faire  la doctrine du renoncement, attendre par dépit le reste du châtiment comme une complaisance charnelle de nos lubies avortées dans l'antichambre du néant.

     Faut il encore croire que notre  vérité existe vraiment , et qu’elle n’est que l’amoncellement d’inactions qui se figent dans un bourbier d'acte latent.

    PascalH

     

  • Juste rien

     

    je jongle avec ces mots qui me font si peur

    J'ai conscience de ce qui fait mon malheur

    Ayant perdu l' esprit dans le labyrinthe de mes pensées

    Ma poésie se meurt de l'espoir que l'on vienne la sauver.

    J'ai chercher trop souvent l'amour

    Pour qu'il ne me fuit à présent

    J'en ai fait de trop long discours

    Pour savoir ce que j'en ressent

    Et maintenant il ne me reste que ton reflet

    Comme le filigrane de cette passion qui était

    Qui me pousse malgré moi vers cette abîme

    Ou sont engloutie tes pleurs qui m'assassine.

    PascalH