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Poèmes et Pensées - Page 52

  • Ma blessure

    Peuple d’Afrique entend ce cri

    Comme le vautour dans la nuit,

    Le mal qui ronge tes entrailles

    Cette mère que l’on à mis à mal.

    Comment effacer aujourd’hui toutes tes blessures

    Que tant de peuple t’ont fait à cause de leurs culture,

    Comment t’exprimer cette peine

    Comme une honte qui devient mienne.

    Peuple d’Afrique entend ma voix

    Elle brasse les vents divin pour toi,

    Pour qu’ils recueille tout cet amour

    Qu’il te faudra et pour toujours.

    Peuple d’Afrique prend mon pardon,

    Il est la cause de nos actions

    Ma seule richesse est à présent

    Dans tout le cœur de tes enfants.

    Tant de rancœur nous séparent,

    Tant d’amitié nous accaparent,

    Tant de destins ce sont tournés

    Vers de terrible destinées.

    Je n’ai pas l’envergure d’un grand

    Pourtant je te parle en ce moment,

    De cet avenir qui nous guette,

    Nous refusons de disparaître.

    Et bien que je ne sois qu’un blanc

    J’aimerai que tout soit comme avant

    Car nous sommes comme des frères

    Et ici bas, nous respirons tous, le même air.

    ph

  • La tromperie

    Entre naïveté et niaiserie, choisi ton camp

    Et rien ne confirme ta place dans le rang.

    Que celui qui dirige tant de méfait

    Est il vraiment digne de ce fait,

    Comment fait il pour ne pas rougir

    Quand on lui attribue le pire.

    Manipule sans état d’âme ton avenir

    Devenant cet objet pour le servir.

    Quels sont ces mensonges que l’on te sert

    Peut être ceux d’être pervers

    Qui communique leur méchanceté

    Sont ils capable seulement d’aimer.

    A défaut de leurs ignorance

    Ils se servent de leur arrogance

    Mais que t’as t’ont promis

    Un tranche, une part de paradis

    Pose toi seulement cette question

    Qui se résume à une portion.

    Tout ayant droit à l’absolu

    Se cherche dans ce monde révolu

    Ne pèche t’il pas par vanité

    A force de ce croire légitimé

    Par une quelconque usurpation

    De celui qui ne porte pas de nom.

    Cela vaut il encore la peine

    De déployer autant de haine

    Quand on fait de l’ignorance

    Pour les vautours leurs seule pitance.

    A croire que le meilleur ne devienne le pire

    Force qu’on ne pourrais qu’en rire

    La voie est ainsi tracé

    Que l’on est dans un véritable merdier.

    ph

  • La nuit

    La nuit n’est pas si sombre.

    Comment et où se cache cette ombre,

    Car devant tant de désir je capitule

    Et devant tant d’obscurité je recule.

    Comme une attente, un désir inachevé

    L’ordre est devant, et je reste décontenancer.

    Le meilleur serait il le pire

    L’écoute ne serais sans dire

    Que dans chaque impressions

    Que dans chaque distinctions

    Le mal est là, latent

    Respirant chaque maladresse

    Courant tant qu’il n’y aura de cesse

    Dans un dédale ou les âmes tourmentées

    N’aurons pas de repos, trouvée.

    Mais quel seras le châtiment pour celui qui d’effroi

    N’auras que pour unique discours, le bien de soi

    Sans avoir l’indulgence et l’ingénue humilité

    Dans un élan de repentant, courber l’échine, s’agenouiller.

     

    ph