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Poèmes et Pensées - Page 48

  • La Purification

    La passion doit elle ce limiter au seul choix

    Où à quelques formules que l’on conçoit

    Pour que sa trajectoire prenne le risque sans savoir

    Sans se corrompre de cet esprit qu’est le concevoir

    Qui pourrais le comprendre aujourd'hui

    Quand de mon seul regard je poursuit

    Cette étrange idée , représentant cette couleur éblouissante

    Je puise en elle la puissante douceur qui devient enivrante.

    Puis cette distance qui écume ma passion

    Cette mer ,dont je vous tairais le nom

    De cette folie qui dans le tourment arrache mon cœur

    Puis dans le brasier de la douleur, se consume à terre

    Puis dévalant cette colline, pris par l’élan de mon désir

    Les buissons ardents de la vie que mon envie déchire

    De mon pied , je prend le risque de fouler l’atmosphère

    Le porte est ouverte aux rites dont l’humain n’a que faire

    La douleur de ton absence devient comme une plaie ouverte

    Ou l’éponge gorgé du vinaigre de cette affreuse découverte

    Je me retrouve dans cette démesure où tout est immaculé

    Restant sublimé comme un simple miraculé

    Prêchant l’apocalypse , je me dirige vers les abîmes

    Quand chaque prière qui n’est que le reflet d’une rime

    Ce mélange infime de cette grandeur de la peur

    Où chaque regret n’est que le cri d’une sœur

    Comment pourrais encore lever les yeux

    Pour attendre que l’acte promis des dieux

    Ne vienne endeuiller les rivages ténébreux

    L’amoncellement de nos corps enlacés

    Sur la terre de ses âmes répudiées

    Je pose le genou gage de ma soumission

    Echange de cette sentence en acte de purification

    Conscient que la mort me guette,

    Aujourd’hui elle s’apprête

    M’observant , immobile dans l’ombre

    Prête à sortir de cet univers sombre

    Me désigne comme sa proie,

    Le doigt pointé vers moi

    La loi, celle du plus fort

    Tel en sera mon sort

    Sur le chemin où tout est perdu

    Les anges sont à nouveau déchus.

     

    ph

     

     

  • Sa Liberté

    Hé, ma sœur

    Est ce la frigidité qui t’accompagne

    Que dis tu à cette joie de vie qui te réclame ?

    Hé , ma sœur

    Cette liberté que tu as perdu

    Ne cherche pas dans l’imaginaire vertu

    Que dis tu de ces batailles que l’on ne défend plus ?

    Hé, ma sœur

    Dis moi tu pense encore à ce passé

    Comme si un sort en est jeté

    Que dis tu de savoir que le rire n’est plus ?

    Hé , ma sœur

    Tu te laisse gagner d’un paraître

    Ou seul les hommes décide de ton être

    Que leurs dis tu pour paraître bien sage ?

    Hé, ma sœur

    Si réellement ont t’avais tromper

    Que tout les mots sont des leurres en fait

    Que pense tu donc de cette destiné ?

    Hé, ma sœur

    Comment réagi tu à tant de mépris

    Que reste t-il de tes envies

    Fait ce que l’on te dis.

    Hé, ma sœur

    Le tableau est bien noir

    L’amertume est de pair

    Et il te faut te taire

    Hé, ma sœur

    Bonne chance pour la suite

    Car ta destiné en est bien triste

    Moi , ma religion est l’altruisme.

     

    ph

  • La structure musicale

    C’est à n’y rien comprendre

    Dois t’il se dégager de cette ouverture rythmique un architecture gérée par le non sens ?.

    Est ce que la première impression du concept dois t’il aussi séparer toutes idées logique dans sa conception ?.

    Le son qui s’en dégage n’est il pas le sombre reflet de l’accouplement répétitif de chacun de ces battements relayer par les notes successive dans un enchevêtrement où la perception de chaque repère est caché par l’ornement primordiale .

    Est ce que la condition intrinsèque ( aboutissement de la composition ) dégage en réalité la modulation primordiale qui en fait la base de son écoute intuitive ?.

    L’acheminement aléatoire de chaque battements , donnent à la dimension du morceau la perception d’un acte purement illusoire et la pulsation syncopé où antagoniste laisse en suspend la forme intériorisé comme l’idée d’une composition hasardeuse.

    Comment définir le moteur qui alimente sa puissance in directionnelle, comment en séparer ses éléments et que dans la réalisation la plus subtile , les tenants et les aboutissants se retrouvent dans un espace à la fois restreint et immense devant le gestuel de son acte.

    Est ce l’idée à la fois compliqué à l’extrême , ou la forme simpliste de son originalité , il faut souvent lire entre les silences et les notes , qui est le roi et de qui sa muse t’on ?

    . Puis doit aussi se nourrir de ridicule en abordant avec tout l’élan et la fougue que comprend toute la spécificité de l’art sans oublier de dérouler le tapis rouge, pour qu’il soit encore foulé par la multitude des incultes ignorant de la véritable symbolique et devoir concevoir que la place qui leurs est réservé n’est autre que le siège sur lequel nous somme déjà assis.

    Comment après tout, le dénouement , les explications, les justifications, les heurts, les conséquences et les conclusions ne sont qu’ici pour meubler le vide qui nous effraye.

    Aurions nous donc assez de force pour dirigé de main de maître la cadence d’un acte déjà consommé et dont la cendre de la valeur réelle acquis et alloué à la forme déraisonnable originelle , s’envole dans le fracas de portes ouverte et refermées , formant un gigantesque courant musical et comme dans un acte d’une rigueur sans précédent , la tension laisse place à une forme plus jouissive.

    Le mouvement à ce moment est ingérer, digéré, puis expulsé , disséqué perdant ainsi au passage toute la vivacité qu’il s’était octroyer à la base.

    Il retombe comme oublié de ses pairs, perdant ainsi tout attachement à la véritable valeur à là quelle il était conçu.

    Suivre le courant qui nous porte ou subir sa trajectoire , se détacher de son magnétisme ou en faire les frais, se dérogé à son mutisme ou en subir la conséquence, ouvrir le bal et jouir de cet instant qui sera à jamais graver dans notre esprit et dont la chair de nos intentions ne deviendrons que nos inattentions.

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