C'est à force de se servir des mots ,
qu'ils finissent pas nous consumer de l'intérieur.
Puis ils deviennent cendre en leurs âmes et conscience
Dans l'attente d'un jour meilleur.
Ils réinventent le temps qui donnent cette impression de vide.
Et se déchirent dans l'absolue vérité
Quand chacun des moments les dissèques
Pour mieux être lâchement déversé dans le monde des ombres.
Est ce la ronde incessante de leurs joutes
Fassent que la pantomime des masques grimaçant
Ne sont que la peur de l’inconnu.
Ensuite ils deviennent alors pitoyable sous l'apparence de rictus
Et comme il ne peuvent plus bouger dans leurs tenue de clowns ,
La lyrique de ce message n’intéresse que les esprits d’outre tombe.
Tombés à terre ils se relèvent pour leur dernière mission ,
Déposent dans le calice de l’amertume la science
Qu’ils ont crus acquise et versent les larmes de sang .
Les mots ne sont que le reflet de nos frustrations,
Ils ne se regardent que dans ce miroir Narcissique
De leurs inhumanité en se gavant de propos,
D’où qu'ils viennent , ils ne sont que le pale reflet de nos peurs
Et médissent sur le bien à propos de ceux qui les dictent.
PH