Reflexion avril 2011 001

Que penser d’un album en ce sens qu’il à quelque chose de spécial... il est non seulement un album de concept en raison de la structure de son texte et de plus il doit ce différencier par son concept musical pour devenir un concept -album.
Que la musique devienne le timbre positif de l’impact que délivre le lei-motiv , du travail de sa totalité et ainsi le pouvoir alchimiste de son son s’accumule dans le corps de cet objet... Qui peut le mieux parler du poli-rythme, signifiant peut être pour certain le " genre-musical-bloquer", où bien le définir comme le environnementalisme subjectif.

PascalH

Essai texte avril 2011 005

Chronique d'un suicide annoncé,
Ou faut il prêcher pour ne pas se retrouver un jour avec la corde autour du cou,
Et de quel moral puissions-nous nous gaver pour éviter l’éternel remous de notre conscience

 

Le drame est à venir
Je regarde , j'observe mais rien ne se passe
Peu être que le destin de cette lumière n'est plus au fait de suivre notre trace, et c'est certainement la mort de notre ombre,

 

A réflexion faite,
Notre penchant pour la vérité absolu nous égarent souvent, car au moment que celle ci nous revient comme un boomerang ,cela nous désarme en un instant,

La conséquence de la vie
Le goût pour la mort est en parti caché, car dans nos rites ancestral notre peur de celle ci est à jamais imprégné dans nos esprits, Pour comprendre il faut savoir, et cela passe par l’expérience et la confrontation , nos handicaps sont souvent d'ordre infantile, ce qui biaise notre jugement tout au long de notre vie,

Y a quoi en perdre la foi

 C'est souvent comme une espèce d'aura, où l'on puise nos ressources, mais souvent rien ne débarque, car là ou nous avions calqué nos envies, nos passions mais rien n’apparaît.

C'est la marasme le plus total, alliant la fatalité à une réelle frustration.

Nous sommes à ce moment isolé , au beau milieu de l'océan des vanités.

Comment ne pas perdre la foi en ce que nous croyons(Je ne parle pas ici de dévotion, ni de religion),comment repérer la petite flamme dans cet obscurantisme omnipotent.

Le big Brother à réussi son pari, nous sommes lobotomisé par ce tube cathodique et de son contenu, le pire reste à venir.

Car si l'on puise dans nos ressources, dans le marasme le plus total c'est à ce moment que l'on se noie dans l'océan du fatalisme.

Doit t’ont s'abreuver dans la mer, submergé par un flot de déception au plus profond de nos envies et qui peux nous être fatal.

PascalH