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Réflexions - Page 4

  • Sacré nounours

    Hé bien, puisque nous avons du mal à trouver un terrain d’entente pour le musique sérielle, dite sérieuse par Frank Zappa, nous allons retrouver le plancher des vaches pour que nous puissions partager nos émotions qui seront durable.

    Laissons nous envahir par cet attitude du digne Zappaien qui se respecte.

    Je ne vous provoquerai pas cette fois en vous proposant de m’avouer que vous aussi vous avez été perturber dans votre tendre enfance qui nous ont laisser les séquelles, dont nous connaissons aujourd’hui la cause. Bécassine n’est pas ma cousine et bien que je soit breton, elle n’est pas ma cousine. Merci Chantal et si tu nous entend , ne cherche pas à te faire ressuscité.

    Enfin, je fais parti de cette génération où l’on s’endormait avec du sable plein la tronche, quel enfoiré ce nounours.

    PascalH

  • C’est à n’y rien comprendre

     Dois t’on se dégager de cette ouverture rythmique un architecture gérée par le non sens ?.

     

    Est ce que la première impression du concept dois t’on aussi séparer toutes idées logique dans sa conception ?.

     

    Le son qui s’en dégage n’est il pas le sombre reflet de l’accouplement répétitif de chacun de ces battements relayer par les notes successive dans un enchevêtrement où la perception de chaque repère est caché par l’ornement primordiale .

     

    Est ce que la condition intrinsèque ( aboutissement de la composition ) dégage en réalité la modulation primordiale qui en fait la base de son écoute intuitive ?.

     

    L’acheminement aléatoire de chaque battements , donnent à la dimension du morceau la perception d’un acte purement illusoire et la pulsation syncopé où antagoniste laisse en suspend la forme intériorisé comme l’idée d’une composition hasardeuse.

     

    Comment définir le moteur qui alimente sa puissance in directionnelle, comment en séparer ses éléments et que dans la réalisation la plus subtile , les tenants et les aboutissants se retrouvent dans un espace à la fois restreint et immense devant le gestuel de son acte.

     

    Est ce l’idée à la fois compliqué à l’extrême , ou la forme simpliste de son originalité , il faut souvent lire entre les silences et les notes , qui est le roi et de qui sa muse t’on ?

     

    .Et puis doit aussi se nourrir de ridicule en abordant avec tout l’élan et la fougue que comprend toute la spécificité de l’art sans oublier de dérouler le tapis rouge, pour qu’il soit encore foulé par la multitude des incultes ignorant de la véritable symbolique et devoir concevoir que la place qui leurs est réservé n’est autre que le siège sur lequel nous somme déjà assis.

     

    Comment après tout, le dénouement , les explications, les justifications, les heurts, les conséquences et les conclusions ne sont qu’ici pour meubler le vide qui nous effraie.

     

    Aurions nous donc assez de force pour dirigé de main de maître la cadence d’un acte déjà consommé et dont la cendre de la valeur réelle acquis et alloué à la forme déraisonnable originelle , s’envole dans le fracas de portes ouverte et refermées , formant un gigantesque courant musical et comme dans un acte d’une rigueur sans précédent , la tension laisse place à une forme plus jouissive.

     

    Le mouvement à ce moment est ingérer, digéré, puis expulsé , disséqué perdant ainsi au passage toute la vivacité qu’il s’était octroyer à la base.

     

    Il retombe comme oublié de ses pairs, perdant ainsi tout attachement à la véritable valeur à là quelle il était conçu.

     

    Suivre le courant qui nous porte ou subir sa trajectoire , se détacher de son magnétisme ou en faire les frais, se dérogé à son mutisme ou en subir la conséquence, ouvrir le bal et jouir de cet instant qui sera à jamais graver dans notre esprit et dont la chair de nos intentions ne deviendrons que nos inattentions.

     

    PascalH 

     

     

     

  • Reflexion avril 2011 002

     Que doit on entendre par consécration de ses pairs lors de l’événement qui conduit à la place que l’on convoite depuis tant d’années.

    Est ce que temps travaille pour nous où bien toutes ces intentions ne sont elles au demeurant futiles, comme pour placer la mélodie parfaite et que la meilleure des synchronisation soit la révélation du parfait concept musical.

    Est ce que l’afflux de publicité ne met pas en péril la véritable identité de cette imbrication musicale, la sortant de son véritable concept.

    Les coups de boutoir médiatiques sont comme des coups de semonces, avertissements d’un temps révolu, et puisse dans le passé de nos blessures à peine refermées, ce désir de souffrance.

    L’art se prostitue au nom de la sainte révélation auditive et se vautre dans le lit acoustique de la masse attentive à la substitution vibratoire qu’on lui sert à chaque minute de sa pauvre existence.

    La muse est ainsi disséqué, débité et vendu en tranche pour le meilleur du pire. Le serpent monétaire à enfin gober sa proie, et il digère ce succès qu’il convoite depuis si longtemps.

    Les marchands du temple musical sont assis à la table du seigneur de la pop et celui ci distribue les dividendes aux actionnaires, puis se régale de cette aubaine et fructueuse rentré de capitaux.

    Ou est le véritable labeur musical et comment se fait il que nous soyons arrivé , à nous enfermer dans cette citadelle inhumaine , où la créativité ne tient plus qu’à une caution marginale et que le sons ne se fabrique que sur ordinateur, peut on encore parler de musique et somme nous encore musiciens.

    Faudra il un miracle, pour que ressorte des oubliettes le véritable langage musical.

     Enfin ils nous reste les maux des mots.

    PascalH