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Réflexions - Page 3

  • Subvenir à nos besoins d'écoute musicale

    Je n’ai aucunement la prétention de dire que je suis un musicien digne de ce nom.
    J’ai l’expérience comme beaucoup de l’écoute et un peu de son interprétation.
    Marginalisé mes propos n’est pas mon but, en expliquer la cause serait plus approprier.
    Porter un jugement sur autrui est souvent plus facile que d’apporter
    la preuve de notre véritable parcourt et justifier les lignes qui font la structure de nos dires, pour autant devrions nous taire .
    Même si la critique doit être constructive et pour ne pas blesser les protagonistes du système musical ,nous avons en tant que consommateur , même si le mots blesse c'est malheureusement notre condition et puis pour ne pas affliger de critiques vitriolé sur les produits qui en sortent.
    Par contre ils ne doivent pas faire de nous des acteurs du laisser faire, et puis sans action et réaction de notre part,( si infime soit elle ) nous n’aurions qu’à nous taire lors de la diffusion de ces morceaux d’assemblage musicaux, voulons nous rester dans l’ombre , cela ne servirai qu'à laisser le chant libre à nombres de Majors.
    La prise de conscience doit être le mot d’ordre, nous le devons à cette muse qui n’as d’égale que de la passion de ses partisans.
    Pourtant j’aimerai savoir , ce qui nous pousse à être aussi naïf devant tant de paillettes et qu’est ce que nous recherchons à travers l’image de cette communication qu’est la musique ?

    Une soif de reconnaissance de ses pairs ?
    Un besoin affectif démesuré ?
    Combler une frustration collective ?
    Une affirmation marginale ?
    Une inspiration du néant ?
    Un débordement spirituel ?
    Un exhibitionnisme maladif ?
    Une consécration juvénile ?

     


    Le regard approfondi d’autrui planche peu être sur les déboires de son existence.
    Voilà en parti car de notre réalisation personnelle la liste en est loin d'être exhaustive.
    Que devrions nous faire avant de répondre et de nous lancer dans cette quête cette recherche de soi.
    Est ce que cela nous éviterais dans beaucoup de cas la déception et l’action suicidaire du moi , et surtout la rupture résultante qui serait irrémédiable pour l’être.
    Aux risques d’être mis sur la touche , car de toute façon avec cette pseudo analyse je ne peux en espérer autant qu'il faudrait pour renforcer l’action , dénoncer que depuis un nombre d’année cette absurdité musicale  celle que l’on nous sert .

    Pourtant ceci devrait renforcer l’action de sélection d’écoute d’émissions musicalement culturel non conditionnée au marketing, malheureusement ce n'est pas le cas pour autant.

     


    Musicalement votre.

    PascalH

  • Zappa suite mai 2011

    On à souvent plus à apprendre sur un artiste qu’à se raconter des salades sur un tel où un tel. Nous devons chercher sans doute à nous rapprocher de la lumière, ou de cette énergie de cet artiste pour nous partager les miettes que celui ci daigne bien nous laisser en gage de sa reconnaissance.
    A notre tour de remercier en adoptant le mimétisme parfait , le gestuel qui nous arrachera de la médiocrité de cette vie de tout les jours .
    Enfin je ne pense pas qu’un type comme Zappa le voyait ainsi cet univers musical, enfin de ce que j’ai pu en comprendre, en lisant sa biographie, et les quelques livres de Guy Darol et Christophe Delbrouck.
    Bien, sa musique en dis long sur le phénomène, et peu d’artiste dans le sens noble du terme peuvent se venter de lui arriver à la cheville .
    Il n’est pas simplement un guitariste émérite, mais un compositeur insatiable, un véritable leader, un chef d’entreprise, et une grande gueule (de son vivant bien sur).
    La gueulante, il ne l’appuyait pas sur la base de ses cordes vocales, mais dans son attitude , simple et à fois précise et imprévisible comme sa musique.
    Pas besoin de faire d’esbroufe, juste ce qu’il faut pour te mettre suffisamment de décibel, un bon choix dans l’application de la mesure, un tiraillement des basses vers le bas, un ajustement de la gamme parfaite, et une avalanches de bons mots, bien grossiers qu’on te colle dans la poire comme une tarte à peine cuite et dont le coulis te laisseras pendant quelques années le goût amer du véritable visage dépeint de la connerie humaine, politique et les choses insolvables .
    Bref pour les gratteux comme moi, enfin si je peu encore me considérer comme musicien , vu le temps que je passe au boulot et pas souvent au chevet de ma gratte, nous diront que le nerf moteur de la guerre, c’est le fric, et comment on fait sans matos .
    Qui peu prétendre aujourd’hui vivre de son art , à part peu être les véritable seigneurs du show-business , et pour combien de temps.
    Un élément en pousse un autre, et le terrain de la consécration diminue à vue d’œil, attention au gouffre de l’oublie , aux oubliettes du stars système .
    Je revient à nos moutons, je dirai plutôt au fil conducteur de mon inspiration rhétorique, à oui, jenesuispasunbonguitaristecarjauraisdubosserplusqueça ; bon sang non c’est pas çà, la teneur en politique, merde je disais quoi tout à l’heure, que, à mais c’est bien sur, pour les gratteurs du dimanche comme moi , jouant un peu plus que pour se faire plaisir, que la recherche du son et de la note (pas de la nouvelle gourde) est quand même un p’tit peu primordiale .
    A force de se faire servir de la soupe , digne de la diffusion de nos chers médias de France , de Navarre et du royaume anglo-saxons , cela commence par nous casser nos petites burnes. (quoi j’ai dis petites, c’est parce que , tout ce qui est petit est jolie, bon ça va, grosses).
    Je m’éloigne un tantinet de mon sujet encore une fois, si tu nous entend Franky, ne m’en veux pas trop, et ne m’attend pas pour l’apéro , je ne suis pas presser de monter voir l’autre barbu, enfin s’il existe vraiment.
    Nous voilà dans le vif du sujet, quand il faut aujourd’hui faire preuve de créativité , c’est là que le bât blesse. Frank Zappa à été comme un puits intarissable de la créativité, et n’as laisser aucune goutte de son art s’évaporer, la moindre note était considérée comme une perle rare, et sa musique comme le meilleur ambassadeur de sa passion .

    PascalH

  • Frank Zappa

    Loin de moi l’idée d’attirer les feux de la rampe, je n’en n’ai nul envie et nul
    besoin pour exister, je me suffit , mon attachement et ma réflexion partagé avec
    certain de mes amis du style Zappa et eux se reconnaîtrons par leurs engagement
    purement personnel, culturel et musical pour celui qui nous à donner et continu
    à déposer son regard sur cet l’univers , celui de la musique dite sérieuse.
    Il n’y a pas de marque de dévotion, ni de fanatisme dans ma démarche, je n’ai
    aucune prétention et aucun talent qui pourrais le justifier, je cherche
    simplement à consolider mon attachement au style de sa musique et faire au mieux
    pour donner même si infime peut être mon engagement et si petite ma
    participation à démonter que Frank Zappa est un des plus grand compositeur de
    son époque.
    Il est incontournable et pas un musicien (je parle des véritable Musiciens)ne
    peut dire qu’il n’as pas été subjuguer par le charisme de Frank Zappa. Je ne
    parle pas  d’aimer que sa musique au sens propre, mais de ce qu’il à chercher et
    développer de son véritable langage.
    Ce que la synthèse des notes assemblées donnent en premier lieu n’est que
    l’arbre qui cache la forêt, et le discours du mot incisif donne le rythme à la
    rhétorique de celui ci.
    Ont pourrais considerer sa musique comme en 3 D : L’homme , l’instrument et la synergie .
    J’ai beaucoup d’admiration pour ceux qui ont su garder le cap sans jamais
    défaillir, et coûte que coûte , on braver tout les interdis de la pensée imposée
    par les systèmes qui par leurs gouverne annihile toutes innovations dans l’art .
    Je ne tient pas Frank Zappa pour un maître à pensée ce serait être réducteur, un visionnaire de l’art absolu musical et  critique de cette politique péjorativement  menée.
    Parler de Frank Zappa qu’à travers sa musique n’est pas parler de Frank Zappa,
    il est un tout et cela va bien plus loin que la conception de ses compositions.
    Il ne faut pas oublier qu’au commencement des chants et musiques accompagnées de
    la lyrique n’avait pas pour but ce déferlement de paroles insipides et fades ,(
    le plus souvent ont peu dire que le coté naïf prédomine chez pas mal d’auteurs ,
    heureusement le lied motif est là pour sauver la mise)  , si cette façon de
    communiquer ne doit servir qu’as nous lobotomiser le cerveau, nous ne sommes pas
    sortie de cette auberge, on n’y est pas encore entré d’ailleurs !!!!!.

     

    PascalH