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Poèmes et Pensées - Page 29

  • Pensée avril 2011

     

    Nous avons souvent l’impression de tourner en rond, et à chaque fois que l’écho de notre pensée nous revient en pleine face nous nous apercevons que nous somme en marge de la réalité.

    Comment être sur que nos choix sont les meilleurs, à défaut d’en être nos ennemis .

    Comment grandir ou accepter de grandir, qui peut prétendre d’avoir cette rage qui nous permettras d’avoir cette victoire que l’on ne compte que sur soi même.

    Faut il passer par ce couloir , où les ombres de nos souvenirs encore fraîchement peint de cette hypocrisie si souvent dénoncé.

    Sont ils ici que pour montrer le doigt accusateur, la liste est si longue de nos erreurs qui ne sont pas encore inscrite dans le présent.

    Faut il acquiescé bêtement , est ce la doctrine du renoncement, pour attendre par dépit le reste du châtiment.

    Faut il croire que la vérité existe vraiment , où qu’elle n’est que l’amoncellement d’actions qui se figent dans un acte latent.

    PascalH

     

  • Essai 22 avril 2011 03

    Tu dépose sur mon cœur ton parfum subtile
    Comme une libellule bruisse dans les airs
    Laissant dans ce sillage ce chant de sirène
    Me glissant à l'oreille que tout t’émerveille.

    Tu repose ton corps sur cette étendue sauvage
    Où perle les fines gouttelettes de ton amour perdu
    Absorbé par le temps qui te tourmente tant
    Et laisse aux mirages le pouvoir de t’imaginer.

    Tu compose de tes sens le bouquet de ta nuit
    Donnant aux autres le soin de séparer les pétales de l'ennui
    Au repère de toutes tes années, quand nos âmes seront déchues
    Il ne restera que cette marque austère, empreinte de nos sentiments

    Tu recherche le preuve de la vérité sur ton véritable ego
    Poussant à l’extrême les rites, et les doutes qui te sont confiés
    Et tu retourne cette fois sereine sur tes derniers pas
    En pensant qu'a jamais l'amour rime avec trépas.

    Tu sais maintenant que la peur n'est plus une fin en soit
    Et bien que tu dispose ses mots abstrait sur le mur de ta vie
    Tu te plongent dans l'absolu des mensonges qui règnent ici bas
    Et t'immoler dans les flammes d'un chagrin qui t’emmènera dans l'au delà

    PascalH

  • Essai 22 avril 2011 02

    Nos larmes de verres éclate à même le sol
    Où nos peurs les plus abyssales nous attirent
    Se reflètent dans l'ombre de nos tourments.
    Et les myriades d'éclats se répandent en miettes

    Est là le véritable fléau de nos mots
    Désignant ainsi l'absence de nos sentiments
    Dévorant les restes d'une humanité à l'agonie
    Puis s'éparpille dans l'admosphère de notre utopie.

    PascalH