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Poèmes et Pensées - Page 31

  • Ce que j'aurais aimé pour toi

     

    Belle et douce, elle m’offre ses sourires

    Comme en gage de partage de son affection

    Je lui soumets mes farces, et elle d’en rire

    C’est cela notre partage et notre union.

     

    Son visage s’illumine quand l’on se voit

    Ses yeux s’émerveillent à chaque fois

    Quand de mes récits sont cœur s’emballe

    Sa bouche en trahi le final qui la tenaille.

     

    J’en ai fait mon unique raison

    Plus de pleurs, ni de pardon

    Car que de même cette note j’écris son nom

    Pour en faire ma musique et ma passion.

     

    Et puis ainsi nous briserons tous les tabous

    Tous les dires de ceux qui en ont après nous

    Pour révéler et  le crier au monde entier

    Que nos deux êtres sont destinés.

     

    PascalH

  • Son souvenir me blesse

     

    Elle s’est offerte comme un bouquet

    De mille pétales  de sentiments

    Comme une amante lance sur le quai

    L’ultime baiser qui vole au vent.

     

    Et moi stupide que j’ai été

    Gardant pour moi mes émotions

    N’ayant  pas su y décelé

    L’amour si fort que nous avions.

     

    Aujourd’hui fait que mon aimée

    Fuis ma personne, j’en suis la cause

    Est triste ainsi à en pleurée

    Car sa passion se tourne vers autre chose.

     

    Me voici puni d’un acte que je n’ai pas voulu

    Le tort pour moi c’est de n’avoir rien vu

    Ou occulté tout ces moments

    Forts de tendresses et de sentiments.

     

    Ma belle,  à présent  c’est éclipsé

    Vers une contré ou son cœur doit  être aimé

    Et moi, je reste maintenant seul  sur ce quai

    Ou plus jamais ce train me ramènera celle que j’aimai.

     

    PascalH

  • Le Fox à poil dur

    Bien que je ne cherche pas à monopoliser l'intention des gens, je ne peux m'empêcher d'écrire où de parler. Je ne suis que moi même , un apprenti musicien qui au fil de mes années de galère artistique ne détient qu'une parcelle de son univers. C'est peu être comme une putain de thérapie qu'on vous sert comme un bol de soupe fade, bien graisseuse et indigeste qui nous rebute à la première cuillerée. C'est souvent comme une gigantesque participation avec ses dérivés pervers et ses rencontres impromptu du troisième dogme . J'ai comme beaucoup déserter l'idée de caresser le Fox à poils dur au profit d'une vie bien rangée , pour laisser le coté insipide de ce  royaume qui n'est pas le mien, la mort viendra nettoyer toutes mes plaies. Comme cette langue qui me nourris de ses frasques et de ses facéties, l'ordre des choses s'en retrouvent chamboulés dans un désordre où la conscience humaine n'as plus de repères. Le corps est pris entre ces flots ravageurs qui distinctement d'une raison à l'état latent bouleverse l'ordre universel de mes pensées. Bref ne vous y tromper pas car je peu faire disparaître de mon imaginaire toute lucidité comme piqué sur le vif créant ainsi l'envol de mes dires où seule la compréhension ne serrât pas d'actualité.
    Comment puis je me nourrir de cette miction dont les poètes aujourd'hui ont déverser dans le labyrinthe de ma déraison intellectuelle que de cet ascendant qui dans un dernier sursaut essaie de diriger mon parcourt. L'assemblage de mes propos n'est que le fruit de cet hasard fortuit qui n'a que pour objectif de défaire les choses, et me dévie de ma nature pour mieux me propulser dans le néant de mes contradictions. Je suis qu'un personnage déphasé avec son moi et de cette psychanalyse glauque je ne n'en tire aucun profit. Je suis nulle part et partout à la fois et je me marre de mes discours reflétant cet esprit qui de rime en rime divague. Est ce une raison pour que ce trésor reste à jamais enfoui dans ce labyrinthe ou chacun des fils d'Ariane ont trompés l'oublie pour l'éternité , où les reste de mon esprit putréfié serra déterré à la prochaine lune.

    Croyez que le pire reste à venir et il n'y aura pas de dommage à mon délire.

     


    Amicalement et vive la mort

    PascalH
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