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Poèmes et Pensées - Page 32

  • C'est difficile

    On aime les autres comme on aimerait qu’ils soient. On a toujours cette sensation d’être perdu quand l’être qui vous est cher décide de vous quitter. On pense qu’il n’y a qu’un seul amour et que cela durera toujours. On se fait du mal, on se déchire, on règle nos contentieux, on déballe notre sac, on se fait de multiple reproche, et au bout du compte on n’a pas avancé d’une once. On se choisie souvent à cause de critère parasites, une ressemblance avec une personne de la famille, une attitude que l’on à remarquer inconsciemment un jour et comme celle-ci se représente sous d’autre hospice on croit détenir la personne que l’on attendait depuis si longtemps,  défini comme le coup de foudre. On pense qu’il ou elle sera celui qui nous donneras cette sécurité, cette joie de vivre, cet équilibre, nous raviras des moments les plus fou, nous émerveillera par son altruisme, nous fera découvrir sont l’univers, et nous partagerons ce pain quotidiens de l’amour chaque jour, les yeux dans les yeux, sans une parole plus haute que l’autre.  Même dans les films ou les livres  les plus romantiques, cela n’existe pas. Cette belle utopie ravie le cœur des jeunes filles, des jeunes femmes, des femmes célibataires, divorcées et bien sur les femmes marié qui sont lassé d’une vie routinière et qui ne savent plus trop comment et pour qu’elle raison elles sont encore a espérer le retour de cet amour qui les à fait vibrer au début de leurs rencontre. Le prince charmant, qui n’est autre que le narcissisme et le machisme à l’état pur. Il est vrai qu’a part la religion, les arts, la recherche du savoir, et bien autres activités (peu être aussi le Q) , il nous est difficile de passé entre les mailles du filet de la naïveté. Le pire ensuite est de croire que la liberté nous est offerte au bout de la rue. La liberté nous ne la posséderons jamais car à un moment où un autre, i l nous vaudras nous conformer à une demande bien précise, sans quoi nous ne pourrons ni avancé, ni évoluer. J’adore les gens de bonne attention, qui vous prêche, vous donne les conseils miraculeux, et ceux qui peu être de bonne foi donne leurs jugement pour un acte qui se révéleras lourds de conséquence, alors qu’ils ne connaissent ni les antécédents, les tenants  et les aboutissants  de cette décisions  envisageant une rupture. Ils sont toujours de bon conseils, comme partout, comme votre banquiers, vos parents, votre médecins, votre garagistes, vos amis, vos meilleurs amis, non pas vos meilleurs amis , je parle des véritable ( pas ceux qui se sont imposer ou défini comme tel )car ceux là vous aident à voir plus clair et construire , ou reconstruire pour mieux grandir et évoluer sans cassure, sans déchirement et vous soutienne pour continuer quand  vous avez la conviction que les choses ne doivent pas s’arrête comme cela et qu’il n’y à pas de fautes, mais des attitudes à re synchronisé. Nous faisons tous des erreurs, mais sont elle dommageables, sont elles sans possibilité de retour, de compréhension, de recherche sur soi même et de totale remise en question, et de mieux être, et qui les à conduite à ce mettre en place. Que l’on le veuille ou non c’est toujours à condition égale et la proportion est toujours le cinquante cinquante.  S’il y a doute dans notre décisions, c’est que nous n’avons pas tout les éléments en main pour prendre celle-ci, et gageons d’écouter pierre, Paul où jacques qui ne sont pas les acteurs et qui n’ont la plupart du temps à ne pas s’occuper des histoires des autres.

  • A toi seule 2011

    Souvent partager entre joie et tristesse
    Le flot de ces années qui ne font que passées
    De nos regrets , souvenirs de notre jeunesse
    Et de nos amours qui nous ont à jamais délaissé,
    Mais ne t'en fait pas ma douce, mon ange, mon aimée
    Je te dois reconnaissance de m'avoir tant aimé
    Et me m'avoir offert tout les printemps de tendresse
    Partageant ta vie , ton amour et ton éternelle jeunesse,
    Puis je aujourd'hui et ainsi remettre à tes pieds
    Ces perles, ces rubis , émeraude et diamants taillés dans l'ivresse
    Modestes cadeaux pour te faire oublier ce miroir qui te blesse
    Rassure toi ma douce ce n'est que fausseté d'une image
    Le présent n'est que le fardeaux du passé inachevé,
    Laisse cette peur de l'avenir , rien à voir avec ta véritable destiné,
    Et puis n'écoute plus cette petite voix
    Celle qui te taquine , qui se moque de toi
    Ouvre toi à ta vie , celle d'une très belle femme
    Qui de son regard , et de sa présence consume notre âme,
    Bien , sache ma douce, ma belle, mon aimé
    Que de toutes ces années ainsi assemblé
    n'auront jamais d'emprise sur ta réelle beauté
    Et qu'à jamais mon amour t'est voué,

    PH

  • Essai 002 avril 2011

    C'est à force de se servir des mots ,
    qu'ils finissent pas nous consumer de l'intérieur.
    Puis ils deviennent cendre en leurs âmes et conscience
    Dans l'attente d'un jour meilleur.
    Ils réinventent le temps qui donnent cette impression de vide.
    Et se déchirent dans l'absolue vérité
    Quand chacun des moments les dissèques
    Pour mieux être lâchement déversé dans le monde des ombres.
    Est ce la ronde incessante de leurs joutes
    Fassent que la pantomime des masques grimaçant
    Ne sont que la peur de l’inconnu.
    Ensuite ils deviennent alors pitoyable sous l'apparence de rictus
    Et comme il ne peuvent plus bouger dans leurs tenue de clowns ,
    La lyrique de ce message n’intéresse que les esprits d’outre tombe.
    Tombés à terre ils se relèvent pour leur dernière mission ,
    Déposent dans le calice de l’amertume la science
    Qu’ils ont crus acquise et versent les larmes de sang .
    Les mots ne sont que le reflet de nos frustrations,
    Ils ne se regardent que dans ce miroir Narcissique
    De leurs inhumanité en se gavant de propos,
    D’où qu'ils viennent , ils ne sont que le pale reflet de nos peurs
    Et médissent sur le bien à propos de ceux qui les dictent.

    PH