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  • Bribes de poèmes mai 2011 b

    Doux pays comme on te l’as souvent dis
    Cette politique à fait de moi ton ami
    Je n’ai d’attrait qu’à te plaire
    Ne fusse que l’on me considère

    Comme créature celle que l’on nomme cerbère.
    Mes paroles sont elles si gauches
    Blessant ainsi nobles esprits, et de bonne cause.
    Que de ma droiture digne d’inertie
    Reflète l’idée d’actes maudit. 

     


    Qu’il en soit ainsi et que même si l’histoire
    Fasse de moi le tartufe de ce siècle
    Je serais encore plus digne d’y paraître
    Et si une opinion ne se dégage de cette attitude
    Le poids pesant me dirigeras à ce moment  vers la solitude.

     


    Puis je  enfin te faire comprendre que mes maux
    Ne seront de  juste cause , ainsi résonne mes mots.

    PascalH

  • Bribes de poèmes mai 2011 a

    La pendule c'est arrêté sur cet instant de ta vie
    Et les aiguilles de ta destiné se sont accrochées
    Sur le passé de cette jeunesse à tes yeux perdu
    Pour n'avoir que passé devant tant d'années disparu,

    Et pourtant tu aimerai revenir en arrière
    Du moins explorer le temps de cette autre terre
    Celle qui t'as fait défaut jusqu'à présent
    Et qui aujourd'hui te manque et pourtant,

    Mais que sera cette tache afin de te combler
    A savoir qu'il n'est pas facile de tout renier
    Dans ce domaine ou tout n'est qu'illusoire
    Alors ce qui sommeille en toi ne demandera qu'à croire.

    PascalH

  • Essai mai 2011 002

    Prend garde à ce que tu appelle la vigueur
    Car de ma complaisance elle te donnera tort
    Comme j'ai conçu toute forme de plaisir
    Pour ta gouverne rien ne pourras me retenir

    Et puis j'ai l'empressement gît en moi
    Comme un monstre qui règne en roi
    Et ne demande à cet instant qu'a surgir
    Ne te laissera pas le possibilité de t'enfuir

    Si tu cherche ainsi ce qui est cette déraison
    N'attend pas de moi de pitié , ni de compassion
    Car le moment venu ou tu me sentiras
    L'affaire sera conclut ici bas,

    Je suis cette ombre, celle du froid
    Je suis celle qui décide de ton trépas
    Je suis la mort , je suis la véritable loi
    Celle qui vient t'offrit ce chemin de croix,

    PascalH