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  • Essai 14 juin 2011

    Le saint drone m'est apparu un soir de juin,
    où quand toute lumières éclairantes c'était éteintes
    Comme ces comètes fusionnant dans mon esprit scabreux
    Donnant à manger aux scarabées de ma conscience
    Quand rien n'était encore fondé , quand rien n'était encore,
    Le souffle ne régnait pas ici et son image se dessinait
    Les larmes de ma vie se déversaient dans le chapeau du monde
    Elles auraient envahie le méandre de mon inutilité
    Ou le temps joue avec l'idée d'une mort innée
    Cachant la peur dans le fond de sa poche
    Pour mieux la faire apparaître d'un seul coup
    Comme cette écharpe vermeil qui orne mon cou.
    Tout c'est passer à l'intérieur, mais ai je bien tout compris.

    PascalH

  • Essai 7 juin 2011

    Les hommes de bonne volonté , après les générations
    N'en sont plus en attente d'amour ni de consécration
    Ce qui les ont précédés sont pris de nature et de bien fondé
    Leurs maîtres vont puiser dans la matière de leurs idées
    Et recherche les âmes qui les ont consolés
    La terre , le feu ,l'eau, et le fer seront ainsi couplé
    Pour notre conscience et pour notre utilité
    Ce que le peuple choisi de cet univers le songe acceptera
    Sans qu'il puisse nous mener à notre perte c'est déjà cela,
    Le désir contemporain sublime dans un excès son innovation
    Puis souvent seul et accompagnant la solitude pour raison
    Le même à son ultime désir celui de n'être que l'être naissant,

  • Peuples d'Afrique

     

    Peuple d’Afrique entend ce cri

    Comme le vautour dans la nuit

    Le mal qui ronge tes entrailles

    De cette mère que l’on à mis à mal.

    Comment effacer aujourd’hui toutes tes blessures

    Que tant de peuple t’ont fait à cause de leurs culture

    Comment t’exprimer cette peine

    Comme une honte qui devient mienne.

    Peuple d’Afrique entend ma voix

    Elle brasse les vents divin pour toi

    Pour qu’ils recueille tout cet amour

    Qu’il te faudra et pour toujours.

    Peuple d’Afrique prend mon pardon

    Il est la cause de nos actions

    Ma seule richesse est à présent

    Dans tout le cœur de tes enfants.

    Tant de rancœur nous séparent

    Tant d’amitié nous accaparent

    Tant de destins ce sont tournés

    Vers de terrible destinées.

    Je n’ai pas l’envergure d’un grand

    Pourtant je te parle en ce moment

    De cet avenir qui nous guette,

    Nous refusons de disparaître.

    Et bien que je ne sois qu’un blanc

    J’aimerai que tout soit comme avant

    Car nous sommes comme des frères

    Et ici bas, nous respirons tous, le même air.

    PascalH