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Poèmes - Page 19

  • Essai avril 2011 Textes 001

    Elle se regarde dans la glace, et s'observe

    Se morfond sur son attitude de la dernière soirée

    Elle passe son temps à relever des défit,

    Et surtout  ne pas sombrer dans la folie.

    De peur que la ferveur de sa sexualité

    Ne déborde dans  l’extrême d’un excès.

    Enivrer par la fougue de ses actes

    Et de son penchant pour cet amour

    Elle déverse dans cet accomplissement

    Comme pour s’enivrer de ses plaisirs interdits.

    En à t’elle oublier les consignes, les dangers

    Mais rien ne l’arrête pousser par la fièvre qui ronge son corps.

    Est-ce que cette main s’aura éteindre son feu ardent

    Et de sa bouche se plaindre de ses chers moments

    Laissant échapper ce sublime  gémissement

    Atteindre cet état qui l’emporte au firmament.

    PascalH

     

  • Essai avril 2011 07

    J'ai souvent l’impression que le doute règne en moi
    Sordide réalité qui épuise mes sentiments
    Erre comme un fantôme dans le dédale de mon esprit
    Ainsi le mirage de l'amour c'est encore évanoui.

    Tant d'épreuve qui je joignent à mes tourments
    Tant d’espérance qui ne verrons jamais le jours
    Tant d'inquiétude face a ce qui reste de mon avenir
    Laissant ma pauvre conscience aux vautours de la folie

    Que faire de ma pauvre carcasse
    Seule dans les méandres de l'oublie
    Pourrais je un jour retrouver ce chemin
    Ou maintenant mon âme s'ennuie à mourir.

    PascalH

  • Essai 22 avril 2011 04

    Nous avons tous un jour caresser ce rêve
    Nourrissant ainsi notre mal et notre nostalgie
    Déposant des points de repères à chaque étapes
    Risquant de tout perdre en faisant de cela notre vie.

    A chaque moment gâché par notre exigence
    Nous étions caché derrière l’arbre de l'ignorance
    Celui qui porte l'autre nom cette conscience
    Trempant nos sentiments dans le calice de la médiocrité.

    Et puis transformant en drame , ce que nous touchons
    Nos mots écrasant ce que nous aimons
    Puisant ainsi dans la rime de nos textes
    La rhétorique des malheurs de ce siècle.

    Et comment regarder maintenant vers le ciel
    Éclairant l’esprit , de cette simple bougie
    Cause de ses discours qui se veulent de miel
    Se mêlent ode et complaisance d'un état de fantaisie.

    Découvrant l’acte ,et pris par un profond désarroi
    Celui ci nous détourne de cette grandeur, de notre foi
    Nous précipite vers l’abîme d'une sombre folie
    Ou les âmes crient à tue-tête, avons nous mérités ceci

    Puis de l'amertume qui en à fait son dogme
    Bouleversé par tant vision propre à cette dévotion
    Je me blesse de propos, en frappant ma poitrine
    Prisonnier dans ce corps où l'horreur domine.

    Ma vie n'est pas de nature à comprendre
    Ma mort est une devenue ma certitude
    Ma peur un long silence dans mes veines
    Mon âme n'est pas ce qui m'interpelle