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Poèmes - Page 22

  • Son souvenir me blesse

     

    Elle s’est offerte comme un bouquet

    De mille pétales  de sentiments

    Comme une amante lance sur le quai

    L’ultime baiser qui vole au vent.

     

    Et moi stupide que j’ai été

    Gardant pour moi mes émotions

    N’ayant  pas su y décelé

    L’amour si fort que nous avions.

     

    Aujourd’hui fait que mon aimée

    Fuis ma personne, j’en suis la cause

    Est triste ainsi à en pleurée

    Car sa passion se tourne vers autre chose.

     

    Me voici puni d’un acte que je n’ai pas voulu

    Le tort pour moi c’est de n’avoir rien vu

    Ou occulté tout ces moments

    Forts de tendresses et de sentiments.

     

    Ma belle,  à présent  c’est éclipsé

    Vers une contré ou son cœur doit  être aimé

    Et moi, je reste maintenant seul  sur ce quai

    Ou plus jamais ce train me ramènera celle que j’aimai.

     

    PascalH

  • A toi seule 2011

    Souvent partager entre joie et tristesse
    Le flot de ces années qui ne font que passées
    De nos regrets , souvenirs de notre jeunesse
    Et de nos amours qui nous ont à jamais délaissé,
    Mais ne t'en fait pas ma douce, mon ange, mon aimée
    Je te dois reconnaissance de m'avoir tant aimé
    Et me m'avoir offert tout les printemps de tendresse
    Partageant ta vie , ton amour et ton éternelle jeunesse,
    Puis je aujourd'hui et ainsi remettre à tes pieds
    Ces perles, ces rubis , émeraude et diamants taillés dans l'ivresse
    Modestes cadeaux pour te faire oublier ce miroir qui te blesse
    Rassure toi ma douce ce n'est que fausseté d'une image
    Le présent n'est que le fardeaux du passé inachevé,
    Laisse cette peur de l'avenir , rien à voir avec ta véritable destiné,
    Et puis n'écoute plus cette petite voix
    Celle qui te taquine , qui se moque de toi
    Ouvre toi à ta vie , celle d'une très belle femme
    Qui de son regard , et de sa présence consume notre âme,
    Bien , sache ma douce, ma belle, mon aimé
    Que de toutes ces années ainsi assemblé
    n'auront jamais d'emprise sur ta réelle beauté
    Et qu'à jamais mon amour t'est voué,

    PH

  • Essai 002 avril 2011

    C'est à force de se servir des mots ,
    qu'ils finissent pas nous consumer de l'intérieur.
    Puis ils deviennent cendre en leurs âmes et conscience
    Dans l'attente d'un jour meilleur.
    Ils réinventent le temps qui donnent cette impression de vide.
    Et se déchirent dans l'absolue vérité
    Quand chacun des moments les dissèques
    Pour mieux être lâchement déversé dans le monde des ombres.
    Est ce la ronde incessante de leurs joutes
    Fassent que la pantomime des masques grimaçant
    Ne sont que la peur de l’inconnu.
    Ensuite ils deviennent alors pitoyable sous l'apparence de rictus
    Et comme il ne peuvent plus bouger dans leurs tenue de clowns ,
    La lyrique de ce message n’intéresse que les esprits d’outre tombe.
    Tombés à terre ils se relèvent pour leur dernière mission ,
    Déposent dans le calice de l’amertume la science
    Qu’ils ont crus acquise et versent les larmes de sang .
    Les mots ne sont que le reflet de nos frustrations,
    Ils ne se regardent que dans ce miroir Narcissique
    De leurs inhumanité en se gavant de propos,
    D’où qu'ils viennent , ils ne sont que le pale reflet de nos peurs
    Et médissent sur le bien à propos de ceux qui les dictent.

    PH