Je t'ai glisser quelques notes à l'oreille,
Sur l'oreiller ou tu pose tes nuits
Quand tout s'impose à ton sommeil
Tes yeux fermés loin de l'ennuie.
Tu t'aventure loin de moi mon aimé
Ainsi ton corps se livre aux songes
Sur les nuages, les vagues de tes pensées
Tu prend d'un coup ton envol , et tu plonge,
Dans un univers qui échappe au temps
Ou sont gardé tout tes rêves d'enfant.
Et si ta respiration devient haletante,
c'est que certainement tu as peur
Dans ce cauchemar qui t'étraint
Seule , dans la pénombre et sans lueur
Des choses enfouie, celles que tu craint.
Mais au reveil , tout s'efface, rien ne reste
Que quelques bribes de tes images laissé
Là sur le sol , pret à être balayé
Repartir à la vie , et n'en garder qu'un zeste.
PH
Poèmes - Page 24
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Essai mars 019 2011
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Essai mars 018 2011
Puis je aujourd'hui et ainsi remettre à tes pieds
Ces perles, ces rubis , émeraude et diamants taillés dans l'ivresse
Modestes cadeaux pour te faire oublier ce miroir qui te blesse
Rassure toi ma douce ce n'est que fausseté d'une image
Le présent n'est que le fardeaux du passé inachevé,
Laisse cette peur de l'avenir , rien à voir avec ta véritable destiné,
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Essai mars 017 2011
Souvent partager entre joie et tristesse
Le flot de ces années qui ne font que passées
De nos regrets , souvenirs de notre jeunesse
Et de nos amours qui nous ont à jamais délaissé,
Mais ne t'en fait pas ma douce, mon ange, mon aimée
Je te dois reconnaissance de m'avoir tant aimé
Et me m'avoir offert tout les printemps de tendresse
Partageant ta vie , ton amour et ton éternelle jeunesse,